mercredi 30 septembre 2015

Avec les palettes : voilà comment ça se termine

Et pourtant l'histoire avait bien commencé : les couleurs étaient toutes dans mon registre, pas de bleu pétard ou de violet zarbi. Mais voilà, la force de l'habitude a fait que j'ai jeté mon dévolu comme toujours sur un taupe/beige/gris que j'adore au point de le porter quasiment tous les jours et sans pousser plus loin mes investigations sur les autres nuances. Alors, stocker une palette aussi large dans un tiroir de meuble de salle de bains pour n'utiliser qu'un centimètre de la chose, c'est juste gâcher, je sais (et en plus, au prix du mètre carré Parisien, ça craint). Le pire, c'est que je ne sais pas résister aux palettes, surtout celles dans ce genre-là. Des Bobbi Brown... Je les veux toutes pour finir par n'utiliser que quelques couleurs… Je ne sais pas si ça se soigne et j'hésite bien évidemment à les proposer à moitié mangées à mes copines (je devrais carrément faire sauter le carré de couleur entamé, ça ferait moins crado).

dimanche 27 septembre 2015

Glossier : tout ça pour ça ?

Grosse déception en découvrant la composition d'un des produits Glossier. Petit "refresh": si Glossier ne vous dit rien, c'est la marque lancée par Emily Weiss, créatrice de Into The Gloss, blog beauté américain que j'adore suivre. Autant dire que c'est une fille pointue question cosméto. Donc, découvrir que le premier ingrédient de son baume à lèvres est "petrolatum" (vaseline), c'est à dire un ingrédient issu de la pétrochimie, c'est très très décevant. Certes, il en existe plein sur le marché mais à l'heure où toutes les marques sérieuses -y compris plein de marques pas bio du tout- envisagent de remplacer cet ingrédient, principalement dans les baumes à lèvres parce que le petrolatum, c'est le dernier truc qu'on aurait envie de manger, je ne peux m'empêcher de penser que c'est un gros loupé. Qui ne me donne pas vraiment envie d'essayer le reste des produits. Dommage, car le look de la gamme est très réussi.

mercredi 23 septembre 2015

CC Homme, Erborian

Sincèrement, je ne sais pas s’il y a beaucoup d’hommes qui franchiront la porte d’une boutique Erborian ou d’un Sepho pour s’acheter une CC... Une quoi ??? D’ailleurs le marché du makeup pour hommes, c’est toujours un mystère pour moi. Ca existe vraiment ? Ceux que je connais -même les plus coquets- s’arrêtent à l’autobronzant ou aux gélules solaires. Mais bon, je ne dois pas être complètement renseignée sur la question. Cela étant dit, la CC hommes d’Erborian, elle sera aussi très bien pour nous. Mate, très légère, couleur discrète, facile à étaler : un régal... Et en plus j’adore son pack noir. Bref, aucune raison de la laisser aux mecs, de toute façon, ils ne l’utiliseront pas. Idéale pour celles qui ont toujours la trouille qu’on remarque qu’elles ont trafiqué leur teint... Elle coûte 29 euros

dimanche 20 septembre 2015

Wake Me Up Mascara, Rimmel

La palme de l’idée marketing zarbi de 2015 ? Peut-être bien pour Rimmel qui lance (mais il existe déjà sur le marché UK) un mascara parfumé au concombre. Oui, vous avez bien lu, concombre. Et là, vous vous dites peut-être comme moi, concombre mais pourquoi pas tomates-mozza comme les Tuc ou pistaches pour continuer en mode apéro ? Non, je m’égare, le concombre est un légume qui a une réputation “beauté”, comme en témoignent les innombrables photos de filles avec des rondelles de concombre sur le visage (oui, ok je l’ai peut-être fait aussi quand j’avais 13 ans...). Mais dans un mascara, ça me laisse sans voix. Bon, ce n’est pas non plus un parfumage très présent, on l’oublie vite, mais pourquoi ne pas laisser le produit tel quel et prendre le risque de créer encore et encore des allergies sur une zone aussi fragile que l’oeil. Alors, oui, sans doute la marque a-t-elle testé la formule de façon à être sûre que cela n’irrite pas mais il y aura toujours des exceptions... Certes, ce n’est pas le premier mascara parfumé. Mais est-ce qu’un jour on sera obligées de regarder à la loupe la compo des mascaras pour en trouver un “non parfumé” ? Un peu pénible... A part ce détail de parfumage, le produit est plutôt pas mal dans le genre volumateur, il coûte dans les 13 euros. Ah oui, j’oubliais : s’il est parfumé au concombre, c’est parce qu’il contient de l’extrait de concombre pour booster la croissance des cils. Déjà qu’on nous fait le coup non-stop avec 0,0001 % de concombre dans les crèmes et après miracle, ça sent le concombre (parce que chez vous quand vous coupez un concombre entier, les gens le sentent un kilomètre avant : “whaou, Pamela, je suis passée devant chez toi, je suis sûre que tu fais du concombre, ça sent dans toute la rue...”), si c’est la même chose pour les mascaras, c’est mal barré. Please, mettez donc de l’extrait de concombre, faites un pack vert mais de grâce, oubliez la senteur concombre !

mercredi 16 septembre 2015

Allo, c'est ton shampooing qui te parle…

… et il te prévient gentiment que tu risques de ne pas aimer du tout la sensation de paille sur ta tête à la fin du lavage ! Bon, le seul souci c'est que personne ne lit le mode d'emploi d'un shampooing alors qu'ils ont raison chez Floressance, il y a un gros travail d'éducation à faire pour une bonne utilisation des shampooings sans sulfates. C'est à dire, obligatoirement avec un après-shampooing pour démêler tout ça. M'est avis qu'il aurait fallu encadrer et surligner cet avertissement. Mais c'est bien la première fois que je vois ça sur un flacon de shampooing.

dimanche 13 septembre 2015

Ombres à paupières Bourjois

J’aime pas trop qu’on touche à des monuments (comme ça on dirait que je vais râler mais non...) et la petite boîte ronde Bourjois, c’est un pilier de mon tiroir à maquillage. Sauf que, oui je les ai là, toutes jolies, mais ça fait pas mal de temps que je les ai délaissées pour d’autres produits. C’est bien le signe que la marque a eu raison d’y toucher... C’est rien de dire que j’étais très suspicieuse quand on mes les a présentées, mais voilà, bingo, je ne m’en sépare plus. Qu’est ce qui a changé ? Un peu le boîtier, plus petit, avec capot aimanté et miroir. La texture, plus douce presque crémeuse quand on l’étale du bout du doigt, mais parfaitement mate. Les couleurs : et là, bravo, des nudes impec, pas loin des tons de chez Bobbi. Sur la photo mes trois préférés : Utaupique 06, Emauvante 04 et Noctam-brune 08. Ils s’utilisent à sec ou mouillés pour un résultat plus intense : par exemple, le plus foncé au ras des cils, avec un pinceau bien sûr car c’est impossible au doigt. Côté textures, il y a aussi des nacrés et des pailletés, il en faut pour tous les goûts. Elles coûtent 11,50 euros et, pour info, la marque n’appartient plus à Chanel qui l’a revendue au groupe Coty (qui a déjà une foule de marques de makeup et de parfums).

mercredi 9 septembre 2015

Que penses-tu des produits d'hygiène distribués dans les hôtels ?

Personnellement, cela fait un an que je n'utilise plus que ça (bon, je voyage beaucoup) et que je n'ai pas acheté de shampooing… Ma réponse va peut-être en surprendre plus d'une mais je trouve que c'est très bien. Du moins tant que cela convient à tes cheveux et que tu les trouves souples, brillants et en bonne santé. Après, évidemment, cela dépend aussi des hôtels dans lesquels tu récupères ces miniatures. Généralement, plus l'hôtel est top et meilleurs sont les produits mais il n'y a pas de loi sur la question. Certains ont des produits bio, d'autres des trucs très cheap (où le gel douche s'apparente davantage à du liquide vaisselle tant il décape). Souvent pour moi, le seul souci avec le fait de collectionner ces échantillons pour les réutiliser c'est le parfum. J'ai, par exemple, eu la chance de descendre dans un hôtel qui avait choisi la gamme Bulgari au thé vert et autant sur le gel douche et le lait corps, j'adore, autant en shampooing et après-shampooing, je trouve ça trop parfumé. Pour résumer, si on n'est pas très exigeante sur les bases lavantes, aucun souci, les shampooings d'hôtel sont aussi bien que ceux qu'on trouve dans le commerce. C'est souvent des shampooings à base de SLS (sodium laureth sulfate), et si on a peur qu'ils soient trop agressifs, rien n'empêche de les diluer. En revanche, en cas de souci plus délicat (cuir chevelu irrité par ex) il est plus judicieux de prévoir un shampooing spécifique à acheter en pharmacie (et encore, ne pas choisir n'importe quoi en pharmacie)    

dimanche 6 septembre 2015

L'expérience Lancôme au Printemps : un rêve de beautysta

Les filles qui habitent en Province vont encore râler mais, bon, on est quand même 11 millions d'habitants en Ile de France, potentiellement ça fait pas mal de filles intéressées ! Et croyez-moi, le stand vaut le détour, le truc à rendre folle une dingue de beauté et/ou une consommatrice ultra-exigeante qui ne trouve jamais le bon fond de teint, la bonne ombre à paupières etc. Le stand (près de la porte la plus proche du H&M bd Haussmann) propose une grande table où s'installer en face de miroirs (réglables en hauteur, éclairage lumière du jour, le top !). L'idée c'est de pouvoir tester tout Lancôme, mais absolument tout, makeup, parfums, soins… On arrive, on prend un petit plateau et on y dépose tous les produits que l'on souhaite tester (ils sont à disposition le long des murs) et on s'installe à table avec son plateau. On se désinfecte les mains avec une lingette et hop on attaque, avec la possibilité de se démaquiller entièrement car tout est prévu, cotons, démaquillants en tous genres. On peut, au choix, se faire aider par un des conseillers de la marque ou se débrouiller seule ou encore reproduire les tutos avec les tablettes (munies de caméras pour se prendre en photo si on veut). C'est open et c'est gratuit même si, on l'aura compris, le but est de vous faire acheter plein de produits Lancôme. Sauf que acheter quand on est sûre de ne pas s'être trompée de texture et de couleur, tout d'un coup ça change franchement la donne et on hésite moins à investir ! Je suis restée 15 minutes à observer tout ça mais sincèrement, je me serais bien installée pour l'après-midi… 

mercredi 2 septembre 2015

Gradual Tan in Shower, St Tropez

A l’heure où on essaye désespérement de conserver quelques semaines encore cette petite couleur durement acquise, St Tropez (la marque avec Kate Moss qui fait la pub) lance un produit oufissime, je pèse mes mots. Un autobronzant sous la douche. Dingo, non ? J’ai du relire deux fois la notice pour être bien sûre de comprendre. Je vous explique : on prend sa douche, on se lave, on se rince. On coupe l’eau et on applique sur sa peau humide l’autobronzant dont la texture est à mi-chemin entre le lait et le gel douche, ça ne mousse pas vraiment mais presque. En tout cas, c’est hyper facile de l’étaler partout. Puis on se lave les mains pour éviter les paumes orangées, ensuite on attend trois minutes (on aura pris un chrono sous la douche, ça c’est le point le plus compliqué ou on a une bête d’horloge dans sa salle de bains ou on fait comme moi et on compte jusqu’à 180) et on rince tout ça. Ensuite, on se sèche, sans trop frotter, en tamponnant la peau et basta. Résultat : une montée progressive de la couleur bien uniforme et l’autobronzant le plus facile à utiliser selon moi... Comme c’est un progressif, on peut faire ça deux ou trois jours d’affilée pour une petite couleur et ensuite entretenir tous les trois ou quatre jours. Il coûte 24 euros.