mercredi 28 décembre 2016

La détox de parfum : ça fait du bien

En matière de parfum, quand on est ensemble depuis longtemps, ça fait du bien de prendre un peu de large. Oui, pour mieux se retrouver…Mais la détox peut prendre plusieurs formes. On peut aller s’encanailler dans les bras d’un petit jeune, une Cologne toute simple ou faire abstinence et vivre sans autre odeur que la sienne pendant un mois ou deux. Evidemment, le risque avec la Cologne c’est de s’en amouracher vraiment et d’avoir du mal à revenir à son vieux parfum. Mais alors, c’était peut-être le signe qu’il fallait un grand changement ! Passer d’un fleuri bourgeois à un ambré costaud (ou vice versa !)… Mais gaffe, pas question de suivre n’importe quelle odeur dans la rue, ce n’est pas parce que ça sent bon que ça restera tel quel au fil du temps : question de peau, de saison, de moment. Le parfum n’est pas une science exacte. Et si vous adorez le sujet, filez visiter le tout nouveau Grand Musée du Parfum, 73 rue du faubourg Saint Honoré à Paris. je vous en reparle très vite…

dimanche 25 décembre 2016

mercredi 21 décembre 2016

Les accessoires Leonor Greyl : jolis mais pas que…

Allez, encore une idée de cadeau pour le dernier round ! A une fille (ou un garçon, hein…) qui a les cheveux longs, on peut offrir une belle brosse à cheveux en sanglier. Bien entretenue, elle dure toute la vie ou presque et les poils de sanglier ont cette particularité qu’ils font briller la chevelure (pourquoi ? Je n’en sais rien) et ne donnent pas d’électricité statique. Perso, c’est avec ça que je me brosse les cheveux avant de les shampouiner. Oui, c’est important de le faire à ce moment-là pour démêler et éliminer les produits de coiffage. Celle-ci signée Leonor Greyl coûte 59 euros et c’est un bel objet. Toute douce au toucher, la matière tient bien en main, elle a le format idéal pour un coiffage facile, bref, je l’adore. Les barrettes ne sont pas mal non plus dans le genre sobre et efficace (à 19 euros).

dimanche 18 décembre 2016

The Tragedy Of Lord George, Penhaligon’s

C’est presque un cas d’école : comme si Penhaligon’s avait décidé de faire un parfum en suivant exactement un chemin opposé à tout ce qui se fait aujourd’hui. Un flacon sublime qu’on gardera longtemps, un jus très construit et une histoire compliquée autour de tout ça : celle d’une fausse famille aristo anglaise, totalement déjantée. Cette nouvelle collection se décline en plusieurs opus mais je vous présente mon préféré, Lord George. Sa devise serait « la chair est faible », tout un programme ! Bien rare déjà que je craque pour un flacon, habituellement, je les aime sobres et discrets, juste chics. Mais là, Penhaligon’s a frappé fort : c’est magnifiquement dingo, très décalé et pas du tout gadget, ce sont de beaux objets (remarquez d’ailleurs comme le cerf a été bien accueilli par ma famille de faons !). Et le pire, c’est que ça sent divinement bon, avec de la personnalité s’il vous plaît. Le jus, créé par le nez Alberto Morillas, est une fougère ambrée boisée, un vrai parfum masculin. Mais avec une pointe d’excentricité car on y retrouve des notes de cognac et de mousse à raser, le tout sur un fond suave de fève tonka. Reste le prix, 225 euros, il vaudra mieux n’en mettre qu’une seule goutte le matin ! (en même temps, c’est préférable car il est puissant) Mais bon, c’est Noël bientôt, non ?

La pollution et ses dégâts collatéraux

Certes mes poumons n’en peuvent plus (sinusite + bronchite surinfectée : 10 jours d’antibios, ventoline et cie) mais il n’y a pas que ça. Comme c’est pollué et que j’ai déjà du mal à respirer, je suis interdite de sport depuis trois semaines et je ne peux plus aller au bureau à pied comme je le fais depuis 1995 (ouais je m’y suis mise pendant les grèves Juppé de l’hiver 95, comme quoi merci Juppé !). Plus de yoga non plus, je tousse comme une démente. Résultat : le dos bloqué because pas de yoga ni de marche et adieu tous les autres bénéfices du sport sur la ligne, l’éclat du teint, j’en passe et des meilleurs (ne serait-ce que la délicieuse sensation de se vider la tête = à la place, en revanche, un mal de tête diffus chronique !). Bref, je vais devenir vieille et moche bien avant la date prévue. Remarquez, ça tombe carrément bien, parce que la pollution réduit aussi l’espérance de vie !

mercredi 14 décembre 2016

Les baumes révélateurs : Givenchy ou Lipstick Queen ?

Choisis ton camp camarade ! Comme je parlais dans le dernier post des baumes révélateurs de couleur, vous m’avez demandé lesquels étaient mes préférés. Historiquement -car il est trèèèèès vieux- j’adore le O Plump de Smashbox, mais il y a quelques petits nouveaux très sympas : le super chic Perfect Pink de Givenchy, habillé de cuir rose et bien cher (36 euros) dont la compo est confortable et pas trop parfumée sur les lèvres (j’y suis sensible, je déteste quand ça laisse un « goût »). Et le Lipstick Queen, très mode, qui est tout vert et s’appelle « Frog Prince », histoire de faire parler les copines quand on le dégaine. En vrai, c’est un baume pas vert sur les lèvres, mais d’une nuance qui réagit à la chaleur des lèvres, très agréable à porter aussi. Il coûte 23 euros (chez Sepho).

dimanche 11 décembre 2016

Les cadeaux de Noël que je ne voudrais pas avoir (en beauté…!)

Oui, on est sur un blog beauté donc je ne vais pas dire que je ne voudrais pas qu’on m’offre des Mon Chéri à la cerise, c’est pas le sujet (n’empêche !)… Non, là je voudrais vous parler de ces cadeaux beauté dont on ne veut pas, moi et, du coup, peut-être vous…  Un parfum : à moins de connaître celui que la personne préfère, c’est mort. Il y a 99 % de risques que ça ne plaise pas. Au pire, vous pouvez offrir un « bon pour » dans une belle parfumerie de niche (Penhaligon’s, L’Artisan Parfumeur, The Different Company…). Méfiance aussi avec la ligne parfumée du parfum préféré, le lait corps à une fille qui ne s’en met jamais, c’est dommage. L’assortiment de pinceaux pas cher : ils perdent leurs poils, ils ne sont pas très jolis et on n’en utilise que deux sur cinq. A la place on n’en achète qu’un seul, un pinceau à poudre (tout le monde en a besoin) ou un pinceau à poudre rétractable (je dis ça parce que mes copines bavent sur le mien dès qu’on part en voyage) dans une bonne marque de makeup pro (Mac, Bobbi Brown, Bare Minerals). Un rouge à lèvres : c’est le genre de produit qui s’essaye, on ne peut pas choisir une teinte pour quelqu’un d’autre. En revanche, un baume dans une marque chic, Chanel, Dior ou Givenchy pour une fille qui ne porte que ça, ça sera très apprécié ! Une palette maousse : passé 15 ans, ça ne fait plus vraiment plaisir, on sait bien qu’on n’utilisera jamais les 398 teintes d’ombres à paupières et ça prend de la place. Si on veut faire dans le registre palette, on va plutôt dans une marque de basiques (encore et toujours Bobbi Brown, non ils ne me payent pas mais oui, ils devraient :-) qui propose des palettes à remplir soi-même de quatre ou six teintes : on met par exemple, deux teintes basiques d’ombres et deux blushs et le tour est joué. Une fois que les couleurs sont usées, on peut les remplacer par celles de son choix (ou même les alterner selon les saisons). Une bougie : c’est vrai que c’est facile à offrir donc on peut mettre la barre un peu plus haut et offrir un diffuseur d’huiles essentielles (il y en a de très bien chez Durance) Une crème visage : c’est tentant à offrir mais comme rien n’est plus difficile à choisir, on se retient ! La solution de rechange idéale c’est un sérum, ça convient à toutes les peaux et c’est toujours apprécié…

mercredi 7 décembre 2016

Eos, la crème mains

Après les baumes lèvres en forme d’œuf, Eos continue de tracer son sillon en marge des packs habituels et lance sa crème pour les mains en forme de galet. C’est petit, c’est doux et qui a dit que la crème pour les mains devait obligatoirement être en tube ? Là, au moins, c’est facile à glisser dans un sac (le plastique est assez résistant pour que ça ne soit pas perçé) et je trouve l’objet plutôt joli. Côté formule, dommage, ce n’est pas aussi naturel que les baumes lèvres (mais à 95 % quand même) on y trouve un peu de silicones et du phénoxyethanol avec beaucoup de beurre de karité. Le parfum est frais ; ne pas se fier à l’intitulé « concombre », je trouve que ça ne sent pas vraiment le concombre, plutôt un truc indéterminé et pas très prononcé… Ces crèmes coûtent 5,90 euros (pour une contenance de 44 ml) 

dimanche 4 décembre 2016

ma fille veut des extensions de cils pour Noël, je dis oui ou pas ?

Arghhhh ! La question qui tue et l’ado qui va me détester et me pourrir sur les réseaux sociaux… Car me voilà, la rabat-oij de service. Bon, déjà, deux mots sur les extensions, qui sont des rajouts de cils (en fibres naturelles ou synthétiques) avec des points de colle (oui, moi ça ne me fait pas envie mais chacun son trip !). Déjà, sans dézinguer le procédé, il faut savoir que ça coûte une blinde et que ça ne dure pas, car les cils finissent par tomber et les points de colle avec… Le résultat n’est pas très naturel (mais l’ado s’en fiche sans doute). Alors, concrètement, la pose est longue, il faut compter deux heures et ça coûte de 70 euros pour quelques cils sur le coin externe de l’oeil jusqu’à 300 euros pour une frange très épaisse. Ensuite, les extensions restent en place 4 à 5 semaines mais, et c’est là que je suis une vraie rabat-oij, tout ne part pas forcément en même temps ! Oui, on peut se retrouver avec un oeil très joli et l’autre tout miteux, surtout qu’on ne peut pas appliquer de mascara par-dessus (à cause des points de colle). Bon, la solution la plus simple quand le résultat n’est plus au top c’est de retourner à l’institut pour faire une dépose, mais c’est 30 euros en plus. Bref, c’est ultra-joli pendant les deux semaines qui suivent la pose. Ensuite, c’est moins bien. Et, de l’avis de celles qui ont testé la chose, il semblerait même que les points de colle fassent un peu tomber prématurément les cils naturels. Tu préfères pas un bon mascara sous le sapin ??? (comme Better Than Sex de Too Faced, ton père appréciera…)

jeudi 1 décembre 2016

Herôme, la blague (pas drôle) de la journée

Je ne sais plus avec qui je parlais de bio il y a quelques jours et je disais « non, mais aujourd’hui, pas de crainte à avoir, les produits qui se déclarent bio le sont, il n’y a pas de danger, surtout pour ceux vendus dans l’union Européenne ». Indécrottable optimiste… Je mérite des baffes ! Parce que ce matin, sur mon bureau je reçois ça, une marque de produits pour mains et ongles plutôt connue et venant des Pays Bas (et pas nouvelle sur le marché, ça fait bien 15 ans qu’ils existent). En voyant l’emballage, pas trop de doute, tout laisse à penser qu’ils sont bio, c’est écrit dessus et même précisé en anglais « organic »… Mais pas de label en vue, du coup j’ai jeté un coup d’œil rapide sur la compo et cela m’a suffit à comprendre pourquoi ils ne sont pas labellisés, car ils ne sont pas bio du tout. Non, les produits bio ne contiennent ni paraffine ni phénoxyéthanol entre autres ingrédients… Allo, la répression des fraudes ???? C’est juste accablant et ça me met hors de moi. C’est d’autant plus naze que ça ne donne vraiment pas envie d’utiliser le reste des produits de leur marque, adieu !