samedi 31 octobre 2009

ce que je teste et ce qui reste...


Ma salle de bains voit défiler un nombre considérable de nouveaux produits. Certains font un passage éclair : je sais après une utilisation qu’ils sont mauvais ou ne me correspondent pas. D’autres restent quelques jours et finissent par être abandonnés dans un coin. D’autres sont délibérement mis de côté pour servir plus tard (exemple : les faux cils que je me jure d’appliquer à la prochaine fête, ce que je renonce à faire évidemment au dernier moment...). Et puis, il y a ce qui reste et que j’use jusqu’à la dernière goutte. C’est le cas de deux nouveaux maquillages signés Clarins, un mascara et un anti-cernes. Le “Stick Anti-Cernes” a réussi l’exploit, monumental pour moi, de remplacer mon Touche Eclat de Saint Laurent car il est juste parfait : pas déssechant, bien couvrant, super facile à appliquer et il ne s’incruste pas dans les ridules. Le mascara “Wonder Perfect” est tout pareil, il apporte beaucoup de volume et de séparation des cils, autrement dit, un volume naturel (on en rêve toutes, non ?). Le truc en plus, c’est sa couleur : un brun noir. Je sais que je radote sur les mascaras Clarins (qui ont déjà du faire l’objet de 5 billets) mais ils sont quasiment les seuls à proposer un brun foncé alors que les bruns des autres marques sont trop clairs et virent au rouge. Bref, le brun foncé est superbe sur les cils clairs. Bizarrement, alors que j’aime vraiment beaucoup les produits en eux-mêmes, je ne suis pas toujours fascinée, c’est le moins qu’on puisse dire, par leurs looks saisonniers, toujours trop sophistiqués et loin de la réalité de leurs produits basiques... Je n’y retrouve pas l’esprit Clarins. J’ai toujours la sensation d’un décalage, comme si la marque n’avait pas encore trouvé son creneau en matière d’image. Ceci uniquement pour le maquillage car le soin a, au contraire pour moi, une image très structurée et compréhensible. Le mascara coûte 24 euros et existe, je vous rassure aussi en noir... L’anti-cernes est à 20 euros.

mercredi 28 octobre 2009

orange again !


Après le gel douche à l’orange, le thé à l’orange sanguine, le lait corporel.... ben oui, à l’orange aussi et bientôt le retour de la vraie orange pour mon petit dej (qui me ferait presque aimer l’hiver !), voici l’Eau Gourmande de Novexpert pour mon visage, qui sent evidemment l’orange. Présentée en aérosol stérile (pas de conservateurs et pas de limite d’utilisation dans le temps), elle s’utilise en tonique pour parfaire le démaquillage. 100 % naturelle et certifiée bio, c’est une gourmandise autorisée ! La marque insiste sur son utilisation 2 en 1, à la fois tonique (après le démaquillage) et brume (pour se rafraîchir au cours de la journée), moi, c’est un geste que je ne fais jamais, j’ai trop peur de bousiller mon maquillage (bonjour les dégoulinures de mascara !). Je me contenterai donc d’attendre gentiment le matin pour l’utiliser et de résister à la tentation de la boire au cours de la journée... Outre l’orange, il y a dans sa composition du pin noir, de la glycérine végétale, de l’extrait de pamplemousse et de mandarine ainsi que de la vitamine E. Elle coûte 9,90 euros (en 150 ml) et s’achète en pharmacies. Il en existe aussi une version mini de 50 ml, parfaite pour les voyageuses.

est-ce que les contrats de cosmétiques rendent les égéries feignasses...

...et piquent le boulot des mannequins ? Ben, je me demande... Surtout quand je vois toutes ces poulettes magnifiques qui ne font plus rien comme boulot à part prêter leur visage à une marque de cosmétiques. Quelques exemples pour comprendre : Sharon Stone, mis à part des films de pub pour Dior, dans quel film récent l'avez-vous vue ? Monica Bellucci, pas souvent sur grand écran non plus. Catherine Zeta-Jones, si souvenez-vous, la copine de Zorro, n'apparaît plus qu'en robe rouge pour promouvoir les produits Elizabeth Arden. Je pourrais continuer longtemps, la liste est longue. Sale temps pour les mannequins, car, entre les actrices qui ne font plus de films mais uniquement de la pub et les vieilles tops du genre Claudia Schiffer qui se remettent sur le marché (les marques ont bien compris que la notoriété était plus porteuse désormais que la fraîcheur !), le boulot ne court pas les rues... Surtout qu’avec Photoshop, Claudia sera belle encore longtemps (ok, elle a un bon terrain au départ !). Linda, je ne vous en parle même pas, sa peau est encore plus lisse qu’à 17 ans et Kate... Sur les magnifiques photos des pubs pour Yves Saint Laurent, ce n’est plus Kate mais une idée de Kate. Oui, Kate est sublime sur ces images mais avant les retouches, elle fait quand même un poil plus vieille. A ce sujet, je vous conseille le site http://photoshopdisasters.blogspot.com/ toujours réjouissant pour constater les dégâts de Photoshop quand on le laisse à des amateurs. Quant à Andie Mac Dowell, je n’ai pas l’impression de l’avoir vue sur grand ecran depuis des lustres. Il faut dire que quand on pose la question aux actrices, savoir pourquoi elles acceptent de prêter leur image aux marques, toutes ou presque répondent que c’est parce que ça leur donne beaucoup de liberté dans leurs choix. Sous entendu, que ça ne les oblige plus à faire des navets pour payer les impôts. Oui, mais à force de ne plus faire de navets, certaines ne font plus rien du tout. Pire encore, voici le recyclage de filles qui n’ont pas bossé pendant les dix dernières années et qui ont à nouveau les honneurs des pubs : Rosemary MacGrotha, sublime dans les nouvelles pubs Vichy, ou encore la fille qui a fait le lancement de la gamme capillaire Dessange et qui reprend du service pour les capillaires Dessange anti-âge. Quant à Renée Simonsen, égérie “quadra” chez Clarins, on se demande bien pourquoi personne avant Clarins n’a réussi à la convaincre de retravailler, tellement elle pourrait faire vendre n’importe quel produit anti-rides ! J’ai beau chercher, à part Doutzen Kroes, je ne vois pas un seul mannequin qui ait réussi à percer uniquement comme mannequin ces dernières années.

samedi 24 octobre 2009

vingt ans !


Créé en 1989, le Prisme Visage de Givenchy a toujours ses adeptes. Reformulé, repackagé, il est encore plus beau qu’à sa création. J’en connais qui se l’offrent religieusement depuis des années et qui ne veulent rien d’autre... Pourquoi un tel succès ? Après tout, c’est juste une poudre compacte, non ? Pas complètement, parce que la texture est déjà une merveille de technologie : les particules de poudre sont beaucoup plus petites que celles utilisées habituellement dans les poudres compactes. Cela permet une texture plus douce et très homogène. Plus petites aussi, les nacres, qui, du coup, apportent de l’éclat sans brillance. Le maquillage obtenu n’a donc aucun effet poudré ou nacré mais la peau paraît juste naturellement plus belle. Et puis, moi, comme toutes les fans du prisme, on craque pour l’objet, très désirable ! Encore plus joli et pratique car il est plus plat que les précédentes versions et le pinceau se loge dans un tiroir... Petite précision quant à l’utilisation : la poudre s’applique, comme on veut, couleur par couleur ou en les mélangeant (c’est quand même plus pratique!). Il coûte 43 euros et se décline en 9 teintes.

mercredi 21 octobre 2009

où se niche le progrès ?

Dans les applicateurs de vernis à ongles ! Celui d'OPI est breveté et il le mérite bien car les vernis sont effectivement faciles à appliquer (en plus d'être jolis et sans toluène ni formaldéhyde : voir dessous ma petite explication). Petite nouveauté aussi chez Nivéa avec un applicateur "double brosse" qui se déploie en éventail et couvre presque tout l'ongle (enfin pas le pouce mais les autres oui) en un seul passage. La chose sera disponible sur les nouveaux vernis Manicure Naturals Strong & Pastel qui sortent en novembre (au prix de 7,30 €). En passant, je ne comprends pas pourquoi les fabricants de vernis nous saoulent avec leurs ingrédients végétaux dans les vernis (chez Nivea, des extraits marins sont chargés de protéger la kératine), est-ce qu'il y a encore une fille au monde qui peut croire qu'ajouter des extraits végétaux dans un vernis va protéger ses ongles ? Si cette fille veut savoir comment on fabrique un vernis, je lui expliquerai volontiers qu'avant de mettre des extraits végétaux, il faut déjà beaucoup de pigments et beaucoup de solvants et de résines... Et justement, quand les vernis sont sans toluène ni formaldéhyde, c'est encore mieux car ils sont moins mauvais pour la santé et moins allergisants. J’enfonce le clou pour bien me faire comprendre : mieux vaut un vernis sans extraits végétaux mais sans toluène ni formaldéhyde que avec extraits végétaux, toluène et formaldéhyde. Pour rappel : le toluène est un hydrocarbure qui a une fonction de solvant et le formaldéhyde est l'autre nom du formol. Associé à d'autres composés, il se transforme en résine très résistante, d’où l’intérêt dans les vernis. De plus en plus de marques proposent des vernis sans toluène, ni formaldehyde, ni phtalates, certains sont chers, d’autres non, par exemple ceux de ELF à 1 euro pièce sur le site www.eyeslipsface.fr ou, plus faciles à trouver, ceux de la marque Innoxa, en pharmacies. Beaucoup d’autres marques en proposent mais les produits sont compliqués à dénicher car ce n’est pas forcément inscrit en gros sur les emballages.

dimanche 18 octobre 2009

Sheer Matte, Nars


Au vu du flacon, rien ne distingue un fond de teint basique d’un fond de teint moderne. Tout se passe au niveau de la texture et il faut essayer pour comprendre. J’encourage donc toutes celles qui ont essayé un fond de teint il y a dix ans et décidé que ce n’étaient pas pour elles à recommencer l’opération... de préférence avec un produit comme celui-ci. En quoi est-ce qu’il est moderne ? En fait, sa texture est très souple, se travaille facilement sans sécher en deux secondes mais laisse un fini mat mais transparent. En somme, on ne voit pas le fond de teint sur la peau et on n’est pas non plus obligée de prendre des cours avec un pro pour apprendre à le poser. On y va avec les doigts exactement comme avec une crème de jour. L’application peut d’ailleurs se résumer à deux mini points de produit uniquement sur les zones qui le nécessitent, pas de démarcation visible. D’ailleurs François Nars, son créateur, le précise aussi : la quantité de fond de teint pour le visage entier ne doit pas dépasser la taille d’un petit pois. C’est léger, naturel et vite fait. Et même si le fond de teint paraît cher (39 euros), c’est en réalité une bonne affaire, il dure facilement 6 mois. Il existe en 20 nuances et c’est là qu’il faut passer pas mal de temps. Choisir la teinte idéale, ni trop claire ni trop foncée n’est pas toujours évident. Faites ça en essayant de “coller” avec la couleur de la peau à la base du cou et vérifiez le tout à la lumière du jour (pas toujours simple dans un grand magasin...). Cette fomule est plutôt destinée aux peaux normales à mixtes mais il existe une version pour peaux sèches “Sheer Glow” qui apporte non pas un fini mat, mais au contraire un peu de luminosité qui fait parfois défaut aux peaux sèches, souvent ternes. On trouve les produits Nars chez Sephora, au Bon Marché et sur www.narscosmetics.fr

le bio encore plus bio


Face à la concurrence de marques bio récemment apparues, les pionniers du bio contre-attaquent et mettent en avant leurs formules. Ils communiquent désormais beaucoup sur le pourcentage de matières premières bio dans les formules. Car, oui, il y a bio et bio comme il y a du pain bio (farine bio et point) et du pain bio avec un levain spécifique et un savoir-faire particulier (au pif par exemple du pain Lemaire) : on peut facilement constater la différence puisque les deux n’ont pas le même goût. De plus, lassés sans doute de passer à longueur d’année pour de gentils babas, les marques bio multiplient les annonces pour démontrer que leurs produits sont efficaces et que cette efficacité est prouvée. C’est le cas par exemple, d’Ekia, qui a testé (avec succès of course) ses sérums avec les mêmes protocoles que la cosmétique traditionnelle. C’est encore Florame qui démontre, graphiques à l’appui, qu’un produit bio, c’est un cosmétique qui contient bien plus de principes actifs qu’un cosmétique classique. En se basant sur le fait que tous les ingrédients d’un cosmétique bio sont actifs alors que la cosmétique traditionnelle incorpore beaucoup d’ingrédients inertes. Les silicones, par exemple, sont inertes mais peu dégradables et donc nocifs pour l’environnement. Sans compter bien sûr ceux qui sont potentiellement dangereux pour l’organisme. C’est encore Melvita qui lance des produits pour bébé (sans huiles essentielles) et des produits pour peaux jeunes aux formules ultra complexes et travaillées. Ce sont eux mes chouchous parce que je trouve les odeurs de leurs crèmes super agréables pour des cosmétiques à base d’huiles essentielles. Le produit qui m’a bluffée, c’est le baume fondant Apicosma (qui coûte dans les 14 euros). Il est à base de miel mais ne sent pas le miel (désolée, je n’aime pas les senteurs “miel”)... A tester aussi, l’Eau Micellaire, toute douce et très pratique pour se nettoyer le visage le matin (11,70 euros).

mercredi 14 octobre 2009

mon pinceau


Je vous le présente pour répondre à la question d’une copine qui veut savoir comment je fais pour créer un halo plus foncé au ras des cils avec de l’ombre. Elle me dit que sur elle, c’est toujours un truc trop large ou alors que pour avoir un trait fin elle doit utiliser un eye-liner ou un crayon et que le résultat est trop dessiné. Elle veut un effet flou qui se fond. Je livre donc mon secret (en même temps c’est mon boulot) et ce secret c’est la bonne utilisation du pinceau. L’idée, c’est de trouver un pinceau avec un embout assez fin, ferme mais pas trop. C’est difficile à trouver, je vous préviens et c’est pour ça que je montre le mien. Celui-ci, c’est un Bare Minerals qui coûte 28 euros chez Sephora. Cela dit, une fois qu’on a mis la main dessus, on peut le garder des dizaines d’années. Donc, comme je ne suis pas maquilleuse profesionnelle, voici ma cuisine perso. Je pose l’ombre à paupières (généralement un brun clair/taupe) au doigt sur toute la surface mobile de la paupière. Je préfère le doigt à un applicateur pour avoir un résultat très fondu, c’est le but. Puis, je passe mon pinceau fin dans une ombre brun foncé et ensuite au ras des cils. Si je veux un résultat plus foncé encore, je mouille le pinceau avant de le passer dans l’ombre, cela intensifie l’effet. Cela peut se faire avec beaucoup d’ombres à paupières (j’ai essayé avec plein d’ombres dont l’emballage ne le précisait pas et c’était impec). Evidemment, cela ne marche qu’avec les ombres poudres. Celles qui sont en crème ne peuvent pas se diluer dans l’eau, c’est une question de bon sens (mais j’ai aussi des copines qui manquent véritablement de bon sens) ! Les applicateurs en mousse servis avec les ombres à paupières sont généralement nuls. Gardez-les uniquement pour servir d’estompes. Parfois, certaines marques proposent des applicateurs mousse avec des embouts fins, mais avec un manche riquiqui c’est difficile de bien faire. Les autres pinceaux de Bare Minerals sont très bien aussi et pas atrocement chers.

dimanche 11 octobre 2009

le minéral chez Couleur Caramel


Pionnière dans le maquillage bio, Couleur Caramel se lance à son tour dans le fond de teint minéral, bio évidemment et surtout, disponible en 12 teintes dont 3 pour les peaux noires et métissées. Ce que j’aime dans leur façon de proposer le minéral, c’est qu’ils conseillent d’appliquer au départ un voile de poudre libre (bio et minérale de chez eux) de façon à pouvoir travailler le fond de teint minéral sur une base bien matifiée. Sincèrement, c’est bien mieux pour les peaux mixtes et normales car le passage du pinceau à poudre, en travaillant celui-ci en rond sur le visage, a tendance à créer des zones plus ou moins marquées, surtout si l’application de la crème de jour a eu lieu 5 minutes avant ! Du coup, avec cette poudre juste avant, on obtient un résultat plus lisse et plus unifié. Le fond de teint Bio Mineral est à 16,90 euros et la poudre libre à 18 euros. Comme d’habitude avec le maquillage minéral, il faut très peu de produit. Couleur Caramel est vendu en instituts mais ils ont aussi deux boutiques à Paris pour tripoter les produits... les adresses sont sur www. couleur-caramel.com

mercredi 7 octobre 2009

est-ce que tu as une solution pour éviter les poils incarnés dans la barbe ?

Tiens, un lecteur ! Tu souffres donc de “pili incarnati” ou pseudo folliculite de la barbe. J’ai plusieurs solutions à te proposer pour remédier à ce problème qui peut devenir très handicapant. Par exemple, quand TOUS les poils sont incarnés, c’est un cauchemar. Cela arrive plus souvent sur les gens très frisés car les poils frisés se recourbent pour pousser sous la peau (que du bonheur !). Pour éviter cela, il faut faire des gommages qui exfolient l’épiderme et éliminent la couche de cellules mortes à la surface. Le souci, c’est que les peaux rasées tous les matins n’ont plus grand-chose à éliminer au bout d’un moment. Elles sont à vif tout le temps ! Autre solution : les crèmes qui ont une action kératoréductrice comme Dermo K de Avène (environ 11 euros en pharmacies). Appliquée régulièrement, la crème libère le poil et évite aussi les infections par son action antibactérienne (car il y a pire qu’un poil incarné, c’est un poil incarné infecté !!!!). L’idéal étant d’appliquer la crème le soir pour un effet impec au rasage du matin. Même idée avec le produit “Rêves d’homme” de Clarins Men (environ 35 euros) qui s’applique le soir. Le choix du rasoir a son importance. Les pires modèles étant ceux qui rasent de trop près, d’ailleurs sur les pubs on voit bien le poil qui se rétracte à mort sous la peau, c’est justement cela qu’il faut absolument éviter... La solution peut être d’opter pour un rasoir électrique qui sera moins impec que le mécanique mais moins douloureux pour la peau. Dernier recours : ne plus se raser du tout mais se laisser une perpétuelle barbe de trois jours (1 millimètre) et la tondre. Ainsi la peau n’est pas directement attaquée par le rasoir. Ne reste plus qu’à convaincre les hommes concernés par le problème de se mettre une crème de nuit sur le visage, et là, bon courage...

dimanche 4 octobre 2009

lavande ou lavandin ?


En allant à la conférence de presse Durance, j’ai compris pourquoi je détestais, en général, les produits à la lavande alors que, par ailleurs, j’aime l’odeur de la lavande dans le linge (ou dans les champs). On m’a expliqué que la plupart du temps, et surtout dans les produits d’hygiène, ce n’était pas l’huile essentielle de lavande qui était utilisée mais celle de lavandin, bien moins chère mais aussi moins fine, olfactivement parlant. J’ai donc senti les produits concoctés par Durance à base d’huile essentielle de lavande (la vraie) et me voilà réconciliée direct avec la lavande. Magique ! Je teste en ce moment un déo bio de Durance, à base de lavande, et il est très bien. Je vais finir par faire un hit parade des déos bio ! Celui-ci est à bille et il tient aussi bien la route que le Sanoflore et le Nuxe. Je n’ai pas eu de réclamations de mon entourage ! Il coûte 15 euros. Tous les produits de la nouvelle gamme Durance ne sont pas bio mais ils sont “safe” dans la mesure où ils ne contiennent pas de parabens, d’huiles minérales, ou de PEG. Une vague verte en formulation qui se confirme dans les nombreuses marques “naturelles”, on ne va pas s’en plaindre... Reste à éduquer les consommateurs pour qu’ils apprennent à lire les étiquettes toujours plus bavardes... J’adore l’ambiance des boutiques Durance avec une image de Provence très déco qui va finir par faire de l’ombre à L’Occitane ! On y trouve des produits raffinés et pas trop chers pour des cadeaux. Et Durance est aussi une entreprise très bio avec un pdg qui croit à fond à la croissance verte, ça fait du bien...