samedi 28 juin 2008

Déodorant Bio Beauté By Nuxe

Si vous avez suivi mon petit feuilleton des déos sans alu, vous savez que désormais, je pue. Ce n’est pas que ça m’amuse mais, mon métier consistant, entre autres, à essayer de nouveaux produits (trop dur, le job !!!), je teste en ce moment plein de nouveaux déos bio. Et bien, aujourd’hui, justement, à l’heure où j’écris ces lignes, il est à vue de nez (facile !), 19 h 34 et je ne pue pas. Attention, les âmes sensibles, c’est gore : je soulève mes bras et... je sens juste l’odeur, assez présente, du déo bio de Nuxe. Mirakeul au pays des glandes sudoripares : il est bio ET efficace. Là où d’autres ne sont que l’un ou l’autre. Pourtant ma journée fut rude, j’ai sué dans le métro pour aller prendre le train avec mon chat (qui pèse 7 kilos sans la caisse, oui, je sais merci, il est gros !) et arrivée à Niort, en sortant du TGV ultra-climatisé, je suis montée dans un TER qui n’a mis sa clim en route que 20 minutes plus tard (là, of course je me suis encore rendue compte que d’autres n’avaient toujours pas découvert l’usage du déo, bio ou pas). Ce déo n’a pas du tout la même odeur que les autres déos bio mais il a une senteur assez particulière et très présente qui parfume les aisselles. C’est une odeur qui fait davantage penser à un véritable parfum qu’à des huiles essentielles. Bizzarement, on dirait que, au cours de la journée, le parfum du déo finit par tellement bien se marier qu’il fait corps avec l’odeur de la sueur. Le produit est en roll-on et c’est une émulsion, au début, on a un peu l’impression d’appliquer un lait sur les aisselles mais ça sèche très vite. Il coûte 9,80 euros et se trouve en pharmacies comme le reste de la gamme. Il vient aggrandir la famille des produits Nuxe bio et, je ne sais pas s’il restera assez de place dans les pharmacies aux autres marques, tant Nuxe semble avoir été bio depuis toujours ! Je ne sais pas non plus si la gamme bio va vampiriser le reste de Nuxe, prenons les paris !

est-ce que c'est mieux de prendre le shampooing et l'après-shampooing dans la même gamme ?

Non, on s’en fout, sauf si on est une perfectionniste et qu’on veut avoir la même odeur du début à la fin. Encore faut-il que le produit soit suffisament parfumé et que toute la gamme ait la même senteur, ce qui est une autre histoire... Sinon, pour l’efficacité, ça ne change rien. Mais, il faut quand même faire attention à rester cohérente dans ses choix : si on utilise un shampooing volumateur, on ne prend pas un après-shampooing lissant puisqu’il fait exactement le contraire... De même, si on a les cheveux gras, mais secs aux pointes, on évite de les inonder d’après-shampooing ou de se faire un masque : on applique au maximum une noisette d’après-shampooing sur les pointes. Si vous utilisez un shampooing très doux, lavages fréquents, mieux vaut zapper l’après-shampooing car ce style de shampooing a tendance à laisser déjà les cheveux un peu plats et mous.

mercredi 25 juin 2008

Sephora bio ? Oui, eux aussi...

Et c’est plutôt réussi. D’abord, les packs sont noirs, ce qui change, et avec une typo vert pomme. La gamme comporte d’entrée de jeu 8 produits. Les odeurs sont très miam, et c’est ce qui fera la différence avec pas mal d’autres cosmétiques bio présents sur le marché. Les plus originaux sont les “Eaux à sensation”, la “bien-être” à base de patchouli et de cèdre, et “l’énergie” à base de menthe, lavande et bergamote. Pas vraiment des eaux de toilette, car elles ne restent pas longtemps sur la peau, mais de vrais délices à se vaporiser sur le corps en été, quand justement il fait trop chaud pour porter une véritable eau de toilette. On trouve aussi dans la gamme un gel douche, un gommage corps, une crème corps, un shampooing, un masque cheveux et, plus original, un gommage cheveux à l’argile, vraiment bien pour les cuirs chevelus gras. Tout ça coûte de 10 à 29 euros, c’est raisonnable pour du bio aussi chic. C’est fait pour appâter les filles “normales”, celles qui ne sont pas encore consommatrices de bio et c’est clair que ça fait vachement plus envie que les vieux produits bio moches aux odeurs pas terribles...

dimanche 22 juin 2008

des solaires qui ne brillent pas

J’avoue, je suis une maniaque de la peau qui brille et, en été, à cause de la chaleur, la peau secrète un max de sébum, plus encore qu’en hiver. Le produit qui m’est le plus indispensable reste la poudre libre, c’est dire si c’est pratique pour la plage ! Car évidemment, hors de question de se farder pour la plage (au secours !) alors, pour conserver, malgré tout, une peau à peu près nickel, je me jette sur les produits solaires qui ne brillent pas. Il n’y en a pas trente six parce que, réaliser des textures à la fois fines, fraîches mais pas alcoolisées et super chargées en filtres solaires, c’est difficile. Et encore, d’énormes progrès ont été réalisés puisqu’il ya une dizaine d’années, ces produits n’existaient pas du tout. Mes deux chouchoux sont le Micro-fluide mat, Vichy et le Fluide Extrême peaux mixtes, La Roche Posay, qui sont en plus formulés avec le filtre de L’Oréal (Mexoryl) un des meilleurs du marché car très stable et fiable. Un autre favori : Le Fluide Solaire Hyséac, Uriage, carrément intégré dans une gamme de produits pour peaux à problèmes. Ces solaires sont bien sûrs destinés aux peaux mixtes mais si on brille, c’est bien le signe qu’on a ce type de peau. En fait, les produits solaires pour peaux normales ou sèches me donnent des boutons au bout de deux jours d’utilisation, je n’ai donc pas le choix ! Je profite de l’occasion pour essayer de vous convaincre de ne pas exposer vos visages au soleil. Je passe vite sur les risques de cancer de la peau, vous savez déjà tout ça, de même que le soleil comme plus grand pourvoyeur de rides qu’aucune crème au monde, même à 12000 euros ne peut réparer. Et, last but not least, le soleil épaissit la peau. Sur le visage, cela signifie que le sébum n’arrive plus à s’écouler correctement et qu’il s’accumule sous la surface de la peau. Pour mieux resurgir sous forme de gros boutons dès qu’on arrête de s’exposer. Sympa ! Résumons : avec un peu de chance, vous pouvez cumuler des boutons dus à des produits solaires inadaptés, des boutons dus à l’excès de sébum saisonnier (avant l’exposition) et des boutons dus à la rétention de sébum (après l’exposition). Vive l’été... Bref, démerdez-vous comme vous voulez, moi, c’est protection 50 le matin après le nettoyage et chapeau à large bords ou parasol. En fin de journée, je rince tout ça et j’applique une crème de jour (pas besoin de se tartiner d’après-soleil trop riche si on une peau mixte) et un voile de... poudre libre, youpi !

la question qui fait débat...

…dans notre micro-milieu, c’est comment on explique aux consommatrices que ce n’est pas parce qu’un produit est à base d’extraits de fruits qu’il suffit de s’écrabouiller quatre fraises sur la tronche pour obtenir le même effet. Car les extraits de fruits ou d’autres végétaux choisis, ne sont pas seulement des fruits pressés mais leurs vitamines et minéraux obtenus en concentrés pour une utilisation dans les cosmétiques. Et, tout ça est une question d’actualité parce que les recettes de « grand-mère » reviennent au galop. Sauf que, il faut quand même rappeler que nos grands-mères avaient vraiment l’air de grands-mères alors que les mamies d’aujourd’hui paraissent de plus en plus jeunes. Je sais, c’est un tout, look et mode de vie etc. mais la cosmétique fait partie de ce tout. Pour avancer sur le débat, faisons une brève mise au point sur ces fameux ingrédients : vitamines, minéraux etc. Les nutriments dont la peau a besoin sont, grosso modo, toujours les mêmes, qu’ils soient apportés par l’alimentation ou par l’application d’une crème. Par exemple, si vous prenez des vitamines (par l’alimentation ou par des gélules), votre organisme se servira et distribuera cette « manne » aux différents organes par la voie sanguine. Sachant que la peau est faiblement vascularisée, il est notoire qu’elle sera la dernière servie. Il est donc assez amusant d’avaler des gélules “belle peau” alors qu’elles seront surtout utilisées par tous les autres organes... Mais, cet apport de vitamines est tout de même appréciable au long cours, comme traitement de fond. En revanche, les nutriments que les crèmes apportent sont, eux, utiles pour protéger la peau sur le moment, pour la journée. Les deux se complètent fort bien, en gardant à l’esprit que les nutriments et minéraux sont bien plus facilement assimilables quand c’est l’alimentation qui les fournit (plutôt que des gélules...). Conclusion, les fraises écrasées, au lieu de se les tartiner sur le visage, on les mange, c’est mieux... Et on laisse les crèmes faire leur boulot !

mercredi 18 juin 2008

L'Occitane rachète Melvita

La nouvelle est tombée il y a quelques jours et c’est plutôt une bonne association en perspective. Melvita va pouvoir se développer à l’export, bénéficier du savoir-faire de L’Occitane en matière de marketing et peut-être même avoir de jolis packs (j’adore la marque mais à ce niveau, soyons honnêtes, il y a un peu de boulot...). Bref, après Sanoflore rachetée par L’Oréal, ça bouge dans les alpages ! (en référence à l’origine géographique des deux marques.. et pas que en référence à F’Murr, du Génie des Alpages...). Et j’en profite au passage pour signaler que L’Occitane propose de faire ses soins bio sur mesure dans la boutique de Bercy Village (42 cour Saint Emilion, 75012 Paris, tel : 01 53 30 74 74). C’est tout simple, on choisit sa base : gel douche, bain moussant ou huile de soin puis on y fait ajouter les huiles essentielles que l’on sélectionne en fonction de leurs vertus. Le formulateur fabrique le produit et on repart avec son soin corps sur mesure même pas hors de prix (11 euros les produits lavants et 20 euros l’huile). Tout ça augure d’un bon tournant pour L’Occitane, plus digne de son image, en tout cas, que les produits “non bios” fabriqués avec quelques ingrédients bio que la marque avait présenté il y a quelques mois et qui brouillaient un peu le message écolo...

samedi 14 juin 2008

flippées de la cosméto, c'est pour vous !

Et ces nouveaux produits tombent pile au moment où j’avais une discussion fort intéressante avec des copines un peu angoissées par le bio. Lesquelles me disaient que l’absence de conservateurs, au lieu de les rassurer, les inquiétait. On dirait que les produits ont été pensés pour elles, parce qu’au niveau sécurité, là, je ne vois pas comment on peut faire mieux… Il s’agit d’une nouvelle marque, Dermatherm, qui propose des soins bio, stérilisés UHT et conditionnés en flacons airless. Les formules sont à base d’eau thermale de Fumades les bains, aux propriétés régénératrices et apaisantes. Par rapport aux produits bio présents sur le marché, Dermatherm ne contient pas d’huiles essentielles ou d’alcool qui peuvent être irritants pour les peaux sensibles. La démarche est interessante parce que la formulation avec des ingrédients capables de résister à une stérilisation (le procédé n’est pas exactement le même que pour l’agro-alimentaire) est loin d’être facile. Parmi tous les produits, j’ai essayé la crème hydratante pour bébé et j’ai été bluffée par la texture, très émolliente et l’absence totale d’odeur, si rare pour des produits bio. La gamme se compose de 14 produits et est disponible en pharmacies à des prix compris entre 10 et 15 euros. Reste à observer maintenant comment la marque va s’y prendre pour se faire une niche dans la foire d’empoigne absolue qu’est devenu le marché des produits bio en pharmacies et surtout, comment elle va lutter pour ne pas se faire éjecter par les mastodontes du secteur...

mercredi 11 juin 2008

bonne nouvelle...

...pour les parisiennes ! Et sincèrement sorry pour les autres... La bonne nouvelle, c’est qu’il y a un podium Bobbi Brown aux Galeries Lafayettes du 30 juin au 12 juillet avec une pelletée de maquilleurs de la marque, le tout animé par Edoardo “Clooney” maquilleur over doué, très drôle -et qui cultive en ce moment un look très Georges C ! Sur ce podium, la marque propose aux filles de se faire maquiller et aussi de poser plein de questions sur ce qui leur va le mieux, ce qu’elle doivent choisir comme genre de couleurs etc. Surmontez votre timidité pour prendre rendez-vous (au 01 42 85 13 68) et racontez-moi tout ça après, que je sache si je suis la seule à trouver cette marque génialissime ! Non, on n’est pas obligée d’acheter les produits; of course, ils sont contents si on achète, c’est un peu le but mais on a le droit d’être déçue, de réflechir, de tester son nouveau maquillage sur ses copines ou son copain etc. C’est d’autant plus exceptionnel que Bobbi est une marque assez confidentielle (mais ça va sans doute changer !). Pour moi, au risque de vous bassiner, c’est THE marque de maquillage pour les filles qui adorent être belles sans se transformer en pots de peintures, c’est anti bling-bling à mort, si vous voyez ce que je veux dire. En plus, les produits vont aussi bien aux peaux pâles qu’aux peaux métissées, aux fraîches poulettes comme aux moins fraîches... Pour achever cette ode à Bobbi, je vous livre mes produits préférés chez elle : la poudre libre Pale Yellow, pure merveille, bien mieux qu’une poudre translucide (en fait elle n’est pas jaune il y a juste un vague reflet qui donne bonne mine). Super aussi, les ombres à paupières dans des couleurs limite ternes mais qui mettent vraiment en valeur le regard (dans les autres marques il y a des couleurs vives et ce qu’on voit c’est l’ombre vive et pas vos yeux !). Pour finir, j’adore ses rouges à lèvres : les brun-rosé sont sa spécialité et je me prosterne devant sa science du gloss.

samedi 7 juin 2008

j'avais pas dit que ma cologne Guerlain...


...était la senteur la plus délicieuse, la plus subtile, la plus géniale qu’il m’ait été donné de sentir et de porter ? Si, je l’avais dit. Mais c’était il y a presque un an. Je n’ai pas changé d’avis. C’est juste que j’aime le chocolat au lait ET le chocolat noir. Alors, avec les pauvres mots qui me restent, je vais essayer de décrire mon nouvel amour, Colonia Intensa de Acqua Di Parma. Primo, si vous n’aimez pas l’eau de Cologne, passez votre chemin, moi, c’est mon rayon, je pourrais vous écrire 100 pages sur l’eau de Cologne (non, pitié !). Mais voilà le souci, avec l’eau de Cologne, c’est que c’est un truc tellement subtil et léger que dix minutes après s’en être aspergée, on ne sent plus rien, c’est méga frustrant. C’est normal parce que les notes hespéridées (en gros, les agrumes) sont très peu tenaces. Et ajouter des notes qui font tenir l’eau de Cologne sans pour autant la faire ressembler à un parfum autre que Cologne, c’est particulièrement difficile. Dans le genre, il y a l’Eau d’Hadrien d’Annick Goutal et quelques petites raretés délicates qui sont toutes soigneusement rangées chez moi. Celle-la, au départ, elle est comme les autres, truffée de citron de Sicile et de bergamote de Calabre. Encore que chez Acqua Di Parma, c’est plutôt les citrons situés sur le dessus du panier qui sont choisis... Mais, la vraie différence, c’est son accord boisé-cuir en note de fond qui en font une Cologne qui TIENT ! C’est de l’ordre du miracle. Alors, comme d’habitude, c’est prévu pour les hommes, mais ça on s’en fout royalement. Et je ne sais même pas pourquoi j’en fais un billet puisque je ne veux pas que d’autres que moi la portent...

le solaire à appliquer une fois par jour, bonne idée ou pas ?

Les produits s’appellent « Daylong » et leurs filtres sont encapsulés dans des liposomes. Ceux-ci agissent comme de petits véhicules pour transporter les filtres au plus profond de la peau. Une technique qui permet de n’appliquer le produit qu’une fois par jour. Au début, on se dit “Youpi, c’est génial, terminée la corvée”. Et puis, finalement, bof. Parce que les filtres solaires, surtout s’ils sont, comme dans le cas présent, micronisés, c’est peut-être mieux qu’ils restent à la surface de la peau et pas « dedans »… Le souci, aussi, c’est que les gens peuvent se croire protégés et trop s’exposer (pour rappel, même protégée, la peau exposée au rayonnement solaire est susceptible de développer des cancers cutanés). Alors, il y a quand même des cas où le produit peut rendre de véritables services comme pour les personnes obligées de s’exposer au soleil (les marins, les agriculteurs) et disposant de peu de temps dans la journée pour appliquer le produit -du coup ça se fait le matin avant de partir- ou celles qui ne peuvent vraiment pas supporter le moindre rayon, par exemple quand on suit un traitement photosensibilisant, ça donne une certaine sécurité. Pour plus d’infos, vous pouvez faire un tour sur le site www.daylong.com.

mercredi 4 juin 2008

déodorants sans aluminium : ils débarquent !

Et pas un, mais déjà six ou sept ! C’est intéressant de voir comment les fabricants ont contourné le problème des sels d’aluminium qui sont tellement décriés. Pour rappel : des souris épilées et tartinées de déo très dosé en sels d’aluminium ont présenté des concentrations élevées d’aluminium dans l’organisme. Sauf que la souris n’est pas un très bon modèle d’étude pour la peau humaine, elle n’a que quelques couches de cellules là où les humains en ont beaucoup plus et ont, en conséquence, une peau moins perméable. Je résume et simplifie énormément, pardonnez-moi. On peut d’ailleurs remarquer que les études les plus récentes n’impliquent toujours pas l’aluminium comme précurseur de certains cancers hormono-dépendants mais qu’il ne fait presque aucun doute pour les scientifiques qu’il peut y avoir accumulation de sels d’aluminium dans l’organisme et que finalement, on ne sait pas trop si à très long terme (toute une vie à mettre du déo) ça ne pourrait pas avoir une influence sur des tas d’autres trucs. On n’entend pas non plus reparler de la maladie d’Alzheimer par rapport à l’aluminium alors que c’était le premier sujet d’inquiétude. Mais, déjà, rien que ça, toutes ces interrogations, ces querelles de scientifiques, ça peut suffire à vous faire changer de déos, non ? Une chose est sûre, c’est qu’il faut dire adieu aux aisselles sèches qui étaient la particularité des anti-transpirants et des sels d’aluminium puisqu’ils bloquaient une partie de la transpiration. Car les petits nouveaux sont des déodorants point barre. Avec un mode d’action bactéricide, c’est à dire que les principes actifs empêchent la dégradation des “bonnes” odeurs de sueur en “mauvaises” odeurs de sueur ! Bref, ils sont proches des anciens déos mais leurs formules sont tout de même pas mal. Il y en a aussi une foultitude dans les marques bio : j’ai essayé le Sanoflore et le Melvita. Aucun des deux ne m’a complètement convaincue. C’est mieux que pas de déo du tout mais pas super efficace. Les Vichy et La Roche Posay sont à mettre dans le même lot, bien mais pas “zéro odeurs”. Oui, on va repuer, il va falloir s’habituer mais bon, quelques petites odeurs contre un grand flip, pour moi, le choix est fait. Petit conseil à celles qui ont décidé malgré tout de garder leurs anti-transpirants : jamais au grand jamais ne les utilisez sur une peau fraîchement épilée. L’alu peut entrer encore plus facilement dans la peau à ce moment précis.