Je ramasse les copies dans 3 heures… C’est un sujet sur lequel je m’interroge régulièrement, souvent à la suite de réflexions de copines. Qui voient les gestes de beauté comme une corvée et aussi, ce n’est jamais très loin, comme une injonction. avec des phrases comme « depuis que j’ai arrêté de me maquiller, je me sens tellement libre ». J’en déduis que le maquillage était vécu par cette personne comme une aliénation. Evidemment, c’est totalement à l’opposé de ce que je ressens. Pour moi, c’est une joie, une fantaisie, de la légèreté et je ne me sens pas « obligée » de m’apprêter. Cela me fait plaisir et c’est une faveur que je m’accorde, un truc entre moi et moi. Alors, ok, c’est aussi mon boulot mais c’est pareil -pour moi- du côté des fringues. Le fait est que je n’ai pas envie d’être sapée en Decathlon tous les jours. Pourtant, je ne sacrifie rien ou presque au confort et même j’apprécie le vêtement façon uniforme : un jean (mais pas n’importe lequel), un pull (d’une belle matière), des boots (en cuir). Tout ça 8 mois sur 12 à Paris. De la couleur, de la douceur, des envies, c’est peut-être un peu aussi ce qui fait le sel de la vie ?
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