dimanche 18 décembre 2016

La pollution et ses dégâts collatéraux

Certes mes poumons n’en peuvent plus (sinusite + bronchite surinfectée : 10 jours d’antibios, ventoline et cie) mais il n’y a pas que ça. Comme c’est pollué et que j’ai déjà du mal à respirer, je suis interdite de sport depuis trois semaines et je ne peux plus aller au bureau à pied comme je le fais depuis 1995 (ouais je m’y suis mise pendant les grèves Juppé de l’hiver 95, comme quoi merci Juppé !). Plus de yoga non plus, je tousse comme une démente. Résultat : le dos bloqué because pas de yoga ni de marche et adieu tous les autres bénéfices du sport sur la ligne, l’éclat du teint, j’en passe et des meilleurs (ne serait-ce que la délicieuse sensation de se vider la tête = à la place, en revanche, un mal de tête diffus chronique !). Bref, je vais devenir vieille et moche bien avant la date prévue. Remarquez, ça tombe carrément bien, parce que la pollution réduit aussi l’espérance de vie !

3 commentaires:

Unknown a dit…

Mon Dieu!..Je touche du doigt ce que cette pollution parisienne signifie: je t'avoue qu'habitant à 350km au sud ouest de Paris, j'avais un peu de mal à imaginer ce que ça représente mais là, c'est parlant!! Je te souhaite de te remettre sur pied et de retrouver ta forme très vite, avant Noel si possible, ça doit être vraiment épouvantable (je croyais que c'était surtout à Shanghaï qu'on vivait ça, mais non...) Finalement la "province" ça a du bon aussi:-)

Claudia a dit…

Zut, j'ai cliqué trop vite: mon message est signé Claudia

Sof a dit…

Merci Claudia ! je t'avoue que je rêve de montagnes suisses ! Bon, là, on dirait qu'on a moins de particules fines et les corticoïdes font effet... J'espère que je tiens le bon bout ! Ce qui est à la fois réconfortant mais pas rassurant c'est qu'on est très très nombreux à avoir ça à Paris : tout le monde tousse et crache, trop glam !