dimanche 24 avril 2016

le maquillage bio, on n’y pense pas assez

Je ne sais pas pour vous mais moi, j’avoue que, bien que très très concernée par le bio, c’est finalement en maquillage que j’y pense le moins. A part Une que j’adore et que je porte très souvent, le reste me fait rarement vibrer. Pourtant, là aussi ça commence à bouger. Par exemple, cette ombre crème de Studio 78 est carrément une bonne surprise. La teinte, entre brun et mauve est idéale pour un makeup neutre, parfaite pour les yeux bleus ou verts. et la texture, mate et poudrée s’étale facilement, se module et s’intensifie comme on le souhaite. Reste le nom du produit, un peu mystérieux et pas facile “On se balade” est le nom de la gamme et “A Prague”, le nom de la couleur. Well... Totale perperxité en ce qui me concerne ! Ca se shoppe sur le site moncornerb à 23 euros. La marque a un site mais étrangement ce produit n’y est pas, en revanche plusieurs adresses sur Paris ou en Province pour regarder le produit dans les yeux... Et je vous parle bientot d’autres marques de makeup bio comme Kjaer Weiss ou Colorisi, à mon retour de vacances... smiley smiley smiley !

mercredi 20 avril 2016

N°1 des produits solaires vendus en Suisse/Espagne/Belgique ?

Ma petite remarque désagréable qui suit généralement ces propos, c’est "oui, et alors ? ». Surtout que c’est le genre d’allégation de plus en plus fréquente dans le discours marketing (mal fait) de certaines marques. J’aimerais vraiment savoir en quoi le fait d’être les produits les plus vendus sur le marché des solaires en Suisse ou à Brive la Gaillarde constitue un argument valable. Les Suisses sont-ils mieux protégés du soleil ? Est-ce qu’il y a une expertise spéciale sur le solaire en Suisse ? Les Suisses prennent-ils davantage de coups de soleil que les allemands ou les belges ? Encore plus drôle : les solaires les plus vendus en Espagne. Alors, là, pardon mais des gens qui grosso modo sont quand même un poil plus foncés que des belges (qu’est ce que j’ai avec les belges aujourd’hui ?), en quoi seraient-ils plus compétents pour me proposer de la protection solaire, eux qui, précisément, foncent à vue d’œil (grâce à leur phototype et en dehors de toute crème solaire). Bref, amis du marketing, faudrait un tout petit peu se creuser les méninges pour argumenter mieux que ça : des Espagnols qui me vendent du gaspacho, il y a de la légitimité mais sur la crème solaire... Pareil pour les Suisses. Légitimes sur les banques et le fromage mais les crèmes solaires, bof… Tout ça me rappelle le lancement d’un produit anglais il y a quelques années qui s’annonçait comme ça : découvrez le secret de beauté qui rend les anglaises si belles (je ne me souviens plus texto du slogan mais c’était l’idée). Déjà dire à des Françaises que non elles ne sont pas les plus belles, oh la faute lourde !!!! On se croirait dans Blanche Neige… Mais ensuite leur expliquer qu’elles pourraient, grâce au produit, ressembler à des anglaises, non mais what ? Sorry les anglaises, on vous trouve belles mais pas toutes et pas tout le temps, comme nous quoi.. Tout ça fonctionne bien mieux par petits morceaux : des fesses de brésilienne, des dents d’américaine and so on…  

dimanche 17 avril 2016

Le meilleur autobronzant (suite... et test !)

Rien de tel qu’un petit test pour confirmer ou pas les allégations des fabricants, et au moins, pour les autobronzants, la réponse est immédiate ! Donc, j’ai testé le masque corps de nuit de James Read et franchement, autant j’avais trouvé le produit visage pas mal, autant celui pour le corps m’a déçue. Les bons points quand même, c’est absolument sans odeur -ce qui tient du miracle pour un autobronzant- et c’est sec très vite. Mais je trouve le produit trop dosé et sur moi, le lendemain matin, il y avait des traces. Il faut dire que, comme j’ai l’habitude des progressifs qu’on applique comme des laits, je n’ai pas fait spécialement attention = cuisses zébrées... Pour le corps, mes préférés restent donc, pour l’instant, l’autobronzant sous la douche de St Tropez et les désormais très classiques laits autobronzants progressifs. Il y en a d’ailleurs un chez James Read, le Gradual Tan Body Light. Ca a le mérite d’être précis ! D’ailleurs, dommage que certaines marques ne prennent pas toujours la peine de bien indiquer si leur produit est un progressif ou pas. C’est étrange ce déficit d’information qui ne peut créer que des consommatrices déçues (et donc à la longue plus consommatrices du tout !)... J’ai souvent des messages de lectrices ou copines qui me disent qu’elles ne trouvent pas de laits autobronzants progressifs. Effectivement, ce n’est pas toujours indiqué clairement, il faut lire les étiquettes super attentivement.

mercredi 13 avril 2016

Le meilleur autobronzant

L’obsession des anglaises pour le bronzage, leur peau très claire et les cancers de la peau : voilà le mélange qui a produit ces quatre ou cinq dernières années un vrai phénomène dans les rayons beauté made in UK. Ils sont devenus les rois de l’autobronzant avec des tas de marques uniquement dédiées à la question. La preuve avec celle qui débarque dans les Marionnaud : James Read. En Grande Bretagne, la marque comprte 22 référnces d’autobronzants ! En masques, en laits, en mousses avec des dosages différents et une vraie volonté de nous faire un joli bronzage doré, pas orange et sans traces. J’avais déjà évoqué l’autobronzant progressif sous la douche de la marque St Tropez (le principe : on le passe sur peau mouillée, on laisse poser 5 minutes et on rince), chez James Read on trouve le même genre de produits. Bref, il y a de quoi faire et même si la marque ne vend pas les 22 références en France (il y en a 8), ça mérite vraiment qu’on s’y intéresse. Je vous recommande particulièrement pour le visage le masque de nuit “Overnight Tan” qui ne tache pas l’oreiller et qui est un progressif aussi. Non, on ne se réveille pas orange ! La texture est totalement transparente, absolument inodore (plutôt rare dans les autobronzants) et très vite absorbée. Ca ne ressemble vraiment pas aux autobronzants habituels. Il coûte 34,90 et a déjà séduit des milliers d’anglaises ! La version corps existe aussi, je teste ça très vite et je vous dis...

dimanche 10 avril 2016

Eau du Brésil, Cinq Mondes

C’est le genre de marque qu’on n’attend vraiment pas sur le secteur des parfums : spécialistes des spas aux quatre coins du monde, ils sont davantage légitimes sur les crèmes et huiles pour le corps (qu’ils font aussi très bien d’ailleurs). Et pourtant, Cinq Mondes avait déjà fait un carton avec l’Eau Egyptienne, créée en 2004 par Olivia Giacobetti. Avec l’Eau du brésil, ils remettent ça cette saison et une fois encore, c’est réussi et toujours signé Olivia Giacobetti. D’autant plus rare que tous ceux qui essayent de retrouver une bonne recette généralement se plantent, non ? C’est une tuerie mais une tuerie ultra-légère, normal pour une eau... ça ne tient pas des heures, vous êtes prévenues, il faut en revaporiser au fil de la journée. La composition affiche un départ de citron vert, puis on devine une trace d’eau de coco, pas du tout sucrée, un peu âpre même et enfin une touche de cèdre blanc. J’adore cette interprétation de l’exotisme sans tapage ni sucreries : c’est vert, frais et ça se portera à merveille quand il fera 30 degrés et que ce sera l’été, bientôt quoi... Elle coûte 49 euros et, de mon point de vue, convient aussi bien aux femmes qu’aux hommes.

mercredi 6 avril 2016

Excessive lash, Make Up For Ever

Je serais curieuse de savoir combien de personnes travaillent non-stop sur les innovations en matière de mascara (brosse, formule etc), car il ne se passe pas une semaine sans une nouveauté et, contrairement à d’autres domaines de la beauté –bien envie de balancer-, il s’agit de vraies innovations. Le petit dernier de chez Make Up For Ever, par exemple est une tuerie. Destiné à celles qui cherchent du volume, je ne pense pas qu’on trouve mieux que ça actuellement. Du volume mais bien peigné (parce que du volume en paquets, c’est ok tout le monde sait faire…) et pas des cils en carton non plus. Il porte bien son nom et quand j'utilise un autre mascara que lui (bien obligée de continuer à en essayer d’autres !), j’ai l’impression d’être toute nue des yeux :-) Bizarrement, la brosse n’est pas très grosse mais elle dépose une bonne quantité de produit et surtout elle déploie les cils; on est au top de l’effet papillon que tous les mascaras 2016 revendiquent (mais là, pas de déception…). Il se travaille facilement sans sécher trop vite, pour celles qui, comme moi, aiment passer plusieurs couches et il est en exclu chez Sepho à 25 euros

dimanche 3 avril 2016

Eau de soin hydratante anti-pollution, Hydra Floral, Decléor

Ca vous aura peut-être échappé mais moi, impossible d’y couper : les lotions ou “eaux” sont partout ces derniers temps. Il ne s’agit pas de lotions comme les toniques à utiliser après le démaquillage mais de soins qu’on applique en plus de tout le reste (oui je sais ça commence à faire beaucoup de trucs à superposer !). Toutes les marques en sortent et toutes les filles se demandent comment les utiliser et si c’est vraiment si bien que ça. Moi je les vois passer et jusqu’à présent, j’avoue, sans véritablement m’y intéresser. Méfiante vis à vis du marketing forcené qui consiste à nous faire consommer de plus en plus de produits, je n’étais pas très enthousiaste. Surtout que celles que j’avais essayées étaient, au mieux, vaguement hydratantes (mais moins qu’un sérum) et au pire, leur action était proche de... rien. Et puis, comme dab, celle que je n’attendais pas m’a cueillie au détour de la salle de bains. Essayée sur les conseils d’une consoeur (tu vas voir, elle est géniale m’a-t-elle dit), je n’en reviens pas de la qualité de sa formulation. Pour vous expliquer le truc, on va faire simple : c’est de l’eau mais après l’avoir appliquée, la peau est hydratée comme avec un sérum ou une crème légère. Et l’eau n’est même pas gélifiée ou visqueuse, vraiment comme de l’eau. En plein été, je me vois bien même n’appliquer que ça sur ma peau (juste avant ma crème solaire of course !). Signée Decléor, elle revendique une action traitante “anti-pollution”. Pareil, de plus en plus de marques s’y collent à l’anti-pollution (Ren par exemple mais Clarins en parlait déjà il y a 15 ans) et je me demande vraiment si les filles qui roulent à vélo dans Paris se pshittent un coup de brume sur le visage avant de s’enfiler le boulevard de Clichy. Mouais, j’ai des doutes... Petit point technique : pour s’en servir sans gâcher, il ne faut absolument pas la verser sur un morceau de coton mais quelques gouttes dans le creux de la main puis directement sur le visage. Du coup, le produit n’est plus ausi cher qu’il n’y paraît (52,50 euros les 100 ml) car il dure trèèèèès longtemps ! J’ai usé 3 millimètres dans le flacon avec une application quotidienne pendant trois semaines, ça revient beaucoup moins cher qu’une crème. Le bémol ? Un flacon en verre pas pratique et pas de compte-gouttes.