Bienvenue sur ce blog consacré à la beauté ! Pas de pub, pas de billets sponsorisés, pas de jeux concours mais plein de conseils, des produits testés et des infos sur les cosmétiques. Soins visage, corps, capillaires et maquillage, si vous êtes dingue de produits de beauté, vous êtes au bon endroit !
mercredi 28 janvier 2009
baumessessionnel...
Que ferais-je sans un baume dans ma salle de bains ? Ou plutôt sans une armée de baumes dans la salle de bains, les trousses de toilette, le sac, le tiroir du bureau et le buffet dans l’entrée ? J’aurais l’impression d’avoir des lèvres en carton... Pour tout avouer, il m’arrive même de mettre du baume pour la nuit juste avant d’aller me coucher. J’adore, je me réveille avec des lèvres sublimes (si, si !). A force d’en tester des wagons, je suis devenue une pro du baume et je ne me satisfais que des baumes de pro... Ne croyez surtout pas que les baumes, parce qu’ils se ressemblent plus ou moins, sont identiques. Il y a baumes et baumes. D’un côté : des bâtons mal formulés qui vous font les lèvres blanchâtres et qui existent parce qu’il fallait un baume dans la marque et, de l’autre côté, des petites merveilles de technologie, pensés pour les maniaques dans mon genre. Celui-ci, le Baume Lèvres Réparateur, est signé Clarins, et c’est mon nouveau chouchou. Il est transparent mais stimule la circulation ce qui colore les lèvres et les repulpe sans l’effet “piment” des repulpeurs habituels. L’effet sur les lèvres est très légèrement brillant sans être glossy, une belle bouche naturelle. Il est assez costaud pour assurer par grands froids (je l’ai essayé quand il neigeait sur Paris...) et coûte 15 euros. Il fait partie de la ligne de soins super hydratants multi-climats où il n’y a rien à jeter, tous les produits sont réussis ! Deux mots sur le look du tube : joli, frais, et pratique, ça ne gâche rien.
Libellés :
maquillage,
soins visage,
Testé dans ma salle de bains
dimanche 25 janvier 2009
est-ce que les crèmes pénètrent vraiment dans la peau ?
Oui, même si “légalement”, les cosmétiques ne doivent pas franchir la barrière du derme afin de ne pas pénétrer dans l’organisme. Dans la réalité, il n’y a pas un gendarme posté à la jonction entre l’épiderme et le derme pour interdire aux principes actifs d’aller plus loin ! Donc, oui les crèmes pénètrent dans la peau et même bien au delà, dans tout l’organisme, à condition que leurs molécules ne soient pas trop grosses. Et c’est bien le problème car, à l’heure actuelle, avec les nanoparticules, on a techniquement la capacité de réduire la taille des principes actifs pour améliorer les performances des crèmes, sauf que, oups, ça pénètre vraiment loin et qu’on n’est pas bien sûr qu’une fois arrivés dans certains organes, ce soit génial d’y retrouver les principes actifs de la crème... Mais ce n’est pas forcément un problème récent car les huiles essentielles, par exemple, sont potentiellement dangereuses à cause de cela: elles pénètrent dans tout l’organisme via la peau avec une remarquable efficacité. Bref, on a bossé pendant des années pour que ça pénètre et maintenant on se rend compte qu’on est peut-être allés trop loin...
mercredi 21 janvier 2009
soins des yeux en duo, c'est tendance !
En ce moment, les soins pour les yeux vont par deux : un pour le jour et un autre pour la nuit. C’est Eyliplex-2 (à 39 euros chez Sephora) qui a lancé la tendance avec ses deux petits pots qui ressemblent à des boîtes pour lentilles de contact mais on va en voir de plus en plus (par exemple chez Givenchy). C’est vrai que c’est malin car les deux textures sont parfaitement adaptées au moment : gelifiée et fraîche pour décongestionner les paupières et fixer le maquillage pour le jour. En crème, plus onctueuse et hydratante pour la nuit. Le fait que les produits soient de la même marque laisse penser qu’ils agissent en synergie mais, de façon plus pragmatique, c’est aussi plus pratique car la texture est spécialement étudiée. Moi, j’avais l’habitude déjà de réserver certains produits à un usage jour et d’autres à un usage nuit car les textures varient énormément d’un produit à l’autre et on peut difficilement le savoir avant de les essayer. Le hic, quand les produits sont vendus par deux, c’est si vous n’appréciez pas une des deux textures...
si la crème qui fait tout n'existe pas...
...est-ce qu’on peut mettre plusieurs produits les uns après les autres sur son visage ?
C’est Marie-Laure qui pose cette excellente question et qui ne va pas être déçue, au vu de la longueur du post !!!! Alors, oui, on peut toujours mettre plein de produits et on se transforme donc en Corréenne car les filles de ce pays (au sud, of course puisqu’au nord, la question des cosmétiques doit être assez secondaire...) appliquent une foultitude de produits les uns après les autres tous les matins. Certaines vont jusqu’à douze passages ! Alors, même si ce serait le rêve pour l’industrie cosmétique que l’on se tartine de douze produits tous les matins, il faut être lucide, ça ne sert pas à grand chose. La peau absorbe les principes actifs contenus dans les crèmes mais au bout d’un moment, elle sature et plus rien ne rentre. De plus, certains ingrédients, sans que leurs effets s’annulent, ne sont pas prévus pour être utilisés dans les mêmes types de crèmes. En effet, les supports agissent en synergie avec les principes actifs. Concrètement, il est donc préférable de choisir une crème en fonction du problème principal que l’on veut régler (hydratation, fermeté etc), en sachant que, de toute façon, les crèmes sont déjà toutes hydratantes. On peut aussi fonctionner sur un système de cures : trois mois d’une crème puis trois mois d’une autre. On peut aussi choisir sa crème en tenant compte de deux paramètres, par exemple une crème anti-âge ET peaux sensibles, ou une crème raffermissante ET anti-UV si on passe beaucoup de temps à l’extérieur. Ce qu’il faut savoir aussi, c’est que toutes les crèmes ont plus ou moins le même objectif (une peau qui arrête de vieillir) mais les moyens pour y parvenir peuvent être différents. Si je veux l’expliquer avec une image : mettons que je doive me rendre en haut d’une montagne, il y a plusieurs chemins possibles. Tous y vont mais un chemin passe par la forêt, l’autre par les champs, un autre par une ville. Le paysage n’est pas le même mais cela ne change rien, car au finish, on arrive au même endroit. Chaque labo tente donc de convaincre sa cliente qu’elle doit choisir le chemin qu’il a mis au point car c’est le meilleur. Et moi, mon boulot, dans l’histoire, c’est “carte routière” pour éviter qu’on se plante et que l’on prenne une voie sans issue ! Ce qu’il y a aussi, qui ajoute à la confusion ambiante, c’est l’utilisation d’un lexique ultra étendu mais qui correspond en gros à deux ou trois actions car “repulpe”, “lisse”, “défroisse”, “retend”, c’est quand même globalement la même chose au niveau de la peau (et si encore c’était aussi efficace que ça...). Mais, j’avoue que si j’étais une consommatrice moins au fait des subtilités de l’industrie cosmétique, je resterais assez perplexe devant les propositions de certaines marques. Quand on sort une nouvelle crème tous les trois mois et que cette nouvelle crème est la plus géniale de tous les temps alors qu’on a dit la même chose trois mois avant, il y a de quoi se poser des questions. Cela n’a pas du échapper aux services marketing de quelques marques qui font des panneaux explicatifs (par exemple Lancôme en ce moment) avec quelle crème utiliser et à quel âge. Mais, avant tout, la chose la plus importante, c’est de tester la crème sur échantillon avant d’acheter car une crème, aussi performante techniquement soit-elle, sera nulle si elle ne convient pas à la peau de la personne qui l’utilise. Et ça, on ne peut pas le savoir avant de l’avoir utilisée deux ou trois jours.
C’est Marie-Laure qui pose cette excellente question et qui ne va pas être déçue, au vu de la longueur du post !!!! Alors, oui, on peut toujours mettre plein de produits et on se transforme donc en Corréenne car les filles de ce pays (au sud, of course puisqu’au nord, la question des cosmétiques doit être assez secondaire...) appliquent une foultitude de produits les uns après les autres tous les matins. Certaines vont jusqu’à douze passages ! Alors, même si ce serait le rêve pour l’industrie cosmétique que l’on se tartine de douze produits tous les matins, il faut être lucide, ça ne sert pas à grand chose. La peau absorbe les principes actifs contenus dans les crèmes mais au bout d’un moment, elle sature et plus rien ne rentre. De plus, certains ingrédients, sans que leurs effets s’annulent, ne sont pas prévus pour être utilisés dans les mêmes types de crèmes. En effet, les supports agissent en synergie avec les principes actifs. Concrètement, il est donc préférable de choisir une crème en fonction du problème principal que l’on veut régler (hydratation, fermeté etc), en sachant que, de toute façon, les crèmes sont déjà toutes hydratantes. On peut aussi fonctionner sur un système de cures : trois mois d’une crème puis trois mois d’une autre. On peut aussi choisir sa crème en tenant compte de deux paramètres, par exemple une crème anti-âge ET peaux sensibles, ou une crème raffermissante ET anti-UV si on passe beaucoup de temps à l’extérieur. Ce qu’il faut savoir aussi, c’est que toutes les crèmes ont plus ou moins le même objectif (une peau qui arrête de vieillir) mais les moyens pour y parvenir peuvent être différents. Si je veux l’expliquer avec une image : mettons que je doive me rendre en haut d’une montagne, il y a plusieurs chemins possibles. Tous y vont mais un chemin passe par la forêt, l’autre par les champs, un autre par une ville. Le paysage n’est pas le même mais cela ne change rien, car au finish, on arrive au même endroit. Chaque labo tente donc de convaincre sa cliente qu’elle doit choisir le chemin qu’il a mis au point car c’est le meilleur. Et moi, mon boulot, dans l’histoire, c’est “carte routière” pour éviter qu’on se plante et que l’on prenne une voie sans issue ! Ce qu’il y a aussi, qui ajoute à la confusion ambiante, c’est l’utilisation d’un lexique ultra étendu mais qui correspond en gros à deux ou trois actions car “repulpe”, “lisse”, “défroisse”, “retend”, c’est quand même globalement la même chose au niveau de la peau (et si encore c’était aussi efficace que ça...). Mais, j’avoue que si j’étais une consommatrice moins au fait des subtilités de l’industrie cosmétique, je resterais assez perplexe devant les propositions de certaines marques. Quand on sort une nouvelle crème tous les trois mois et que cette nouvelle crème est la plus géniale de tous les temps alors qu’on a dit la même chose trois mois avant, il y a de quoi se poser des questions. Cela n’a pas du échapper aux services marketing de quelques marques qui font des panneaux explicatifs (par exemple Lancôme en ce moment) avec quelle crème utiliser et à quel âge. Mais, avant tout, la chose la plus importante, c’est de tester la crème sur échantillon avant d’acheter car une crème, aussi performante techniquement soit-elle, sera nulle si elle ne convient pas à la peau de la personne qui l’utilise. Et ça, on ne peut pas le savoir avant de l’avoir utilisée deux ou trois jours.
samedi 17 janvier 2009
alternez les shampooings !
C’est mon conseil en ce début d’année : ne vous contentez pas d’un shampooing mais prévoyez-en deux ou trois à alterner. Je ne peux pas vous l’expliquer scientifiquement mais j’ai remarqué que les cheveux se portaient mieux et étaient plus beaux quand on alternait les shampooings. Je pense que chaque type de shampooing laisse des résidus sur les cheveux et que ceux-ci sont éliminés par les shampooings aux compositions différentes. En utilisant la même formule, en revanche, on accumule les mêmes résidus et cela finit par alourdir les cheveux. Si quelqu’un a une explication plus argumentée à ce phénomène, constaté bien empiriquement sur toutes les copines à qui je l’ai conseillé, qu’il n’hésite pas à ramener sa science ! Evidemment pour les maniaques, c’est compliqué, ça suppose de laisser entamés trois flacons sur le rebord de la baignoire...
mercredi 14 janvier 2009
Jo Malone
Shame on me ! Je n’avais jamais poussé la porte de la parfumerie Jo Malone, installée depuis un peu plus d’un an rue Saint Honoré à Paris (c’est facile, c’est en face de chez Colette). Et pourtant, j’aime absolument tout de cette marque anglaise raffinée : les senteurs si délicates, les flacons, sobres et chics, les emballages beiges et noirs et surtout l’idée si sympa que l’on peut se créer son odeur perso en mélangeant les diverses senteurs de Jo Malone (sur les conseils du personnel de la boutique ou en allant faire un tour sur le site www.jomalone.fr). Cela dit, je ne suis pas sûre que ce soit une bonne idée d’y traîner trop longtemps car, à l’issue de ma visite, j’avais juste envie de TOUT emporter chez moi et de transformer ma salle de bains en annexe de boutique Jo Malone... C’est une mine pour les filles (et les garçons) qui aiment les odeurs simples et discrètes mais originales quand même. Les compositions sont assez figuratives mais hyper subtiles : les noms évoquent tous des odeurs déjà connues mais là où on s’attendrait justement à découvrir une senteur très linéaire, on reste surpris par les compositions nuancées. Dans mes coups de coeur, il y a “Pomegranate noir”, une odeur sensuelle et sophistiquée mais pas lourde (plutôt rare), “Grapefruit”, un pamplemousse pétillant ou encore “Nutmeg & Ginger”, la première fragrance Jo Malone. Pour tester les senteurs, la boutique offre à ses clients un massage des bras et des mains avec le parfum de leur choix. J’ai essayé et c’est vrai qu’il n’y a rien de tel pour savoir si on a fait le bon choix... Je me renifle les mains toutes les deux minutes depuis ce matin ! Les prix ne sont pas trop déprimants, 42 euros le petit flacon (30 ml) et 80 euros le grand (100 ml). Evidemment, si on décide de superposer plusieurs fragrances, ça fait vite monter la note mais, en même temps, on a du parfum pour longtemps. Les produits dérivés pour le corps et la douche coûtent eux assez cher mais la crème corps est assez géniale. On peut l’utiliser à la place du parfum en été pour un parfumage très enveloppant !
est-ce que le contour de l'oeil souffre du froid ?
Une question d’actualité posée par Véro qui se pèle dans sa campagne et qui a les yeux qui pleurent légèrement aussi quand il fait froid. Alors, réponse simple : oui ! Et on a intérêt a bien s’occuper de sa peau avec le froid si on ne veut pas avoir l’épiderme plissé. Donc, oubliez les contours de l’oeil en gels, très frais à l’application mais catastrophiques quand il fait froid. Pour une fois, si vous n’avez pas de contour de l’oeil plus riche sous la main, appliquez votre crème de jour assez haut pour qu’elle hydrate un maximum. Pensez à essuyer vos larmes qui, elles aussi, vont dessécher encore un peu plus cette zone délicate. L’idéal, c’est de porter des lunettes, ça protège quand même un peu.
dimanche 11 janvier 2009
est-ce qu'il faut obligatoirement utiliser le lait démaquillant et la lotion de la même marque ?
Les avis divergent sur la question. Evidemment, les marques disent que c’est mieux mais on voit bien quel intérêt elles ont dans l’affaire à nous vendre des lotions qui vont avec le lait. Oui, les principes actifs sont choisis pour agir en synergie mais c’est subtil, vu que ce sont des produits qui ne restent pas sur la peau ni ne pénètrent. De mon point de vue perso, ce n’est pas un souci de rincer n’importe quel lait avec n’importe quelle lotion. Surtout que la lotion file deux fois plus vite que le lait et qu’il faudrait acheter deux lotions pour un lait et calculer son coup pour finir les deux en même temps ! Bonjour la galère ! Et n’hésitez pas à utiliser des eaux florales (pas chères du tout) en guise de lotion, car grosso modo, les lotions, c’est surtout de l’eau distillée avec deux ou trois mini trucs dedans, c’est le lait qui fait le gros du boulot... Les lotions sont donc, la plupart du temps, outrageusement chères pour ce qu’elles contiennent. Les lotions bio ne sont pas mal mais elles ne sont pas aussi “glissantes” que les produits classiques. Moi, je trouve que le bénéfice du bio est plus important et je renonce donc facilement aux lotions non-bio. Dans tous les cas, fuyez les lotions alcoolisées. C’est dingue mais il y en a encore beaucoup sur le marché et ce n’est vraiment pas génial pour la peau, même grasse. En effet, la lotion alcoolisée a tendance à “décaper” l’épiderme, ce qui stimule la peau à produire encore plus de sébum pour se protéger. Sans compter que cela provoque des rougeurs sur les peaux sensibles. Mes démaquillants bio préférés sont chez Nuxe et Cattier et aussi Calinesse dont je vous reparlerai bientôt. En non-bio, j’adore les laits Vichy et Clarins.
il y a tests et tests...
Tous les produits de beauté sont testés par les laboratoires mais bien peu sont testés dans des conditions totalement objectives. Quand on vous raconte que tel ou tel produit a été efficace sur 90 % des femmes et que l’on s’aperçoit que le produit a été essayé par 22 femmes, peut-on vraiment parler de résultats significatifs ? Quand on sait ensuite que ces femmes ont souvent testé les produits en “auto-évaluation”, quel crédit accorder à ces tests ? Car cela veut juste dire qu’on a donné une crème à un groupe de femmes et, qu’ensuite, on leur a demandé si elles trouvaient le produit efficace ou non. Peut-on juger de l’efficacité antirides d’une crème au bout de 25 jours d’utilisation ? Hélas, non. C’est pourquoi, la question posée est souvent formulée comme cela : “avez-vous la sensation que vos rides ont diminué ?”. Sensation... Alors, ok, c’est peut-être bien de savoir qu’elles ont trouvé le produit en question à leur goût (encore heureux qu’on ne sorte pas un produit qui déplaît aux utilisatrices potentielles) mais quelle valeur scientifique possèdent ces tests ? De temps en temps, les produits sont réellement testés de façon à prouver leur efficacité. Il s’agit alors des mêmes tests que les médicaments, en double aveugle. On teste le produit et un placebo (c’est à dire pour les cosmétiques une crème avec le même excipient mais sans le principe actif) et là, au moins, on peut avoir des chiffres honnêtes et parlants. Les bons tests consistent aussi à soumettre le nouveau produit à la comparaison avec la concurrence. On peut faire une moitié de visage avec le nouveau produit et l’autre moitié avec le produit de référence du marché (celui par exemple considéré comme le plus efficace) et ensuite comparer les résultats. Et je ne vous parle pas des photos “avant-après”, grossièrement trafiquées par des apprentis-sorciers même pas capables d’utiliser correctement Photoshop : pas la même lumière, pas la même distance etc. Sans compter que, ensuite, pour évaluer la photo, il faudrait que cele-ci soit diffusée toujours sur le même écran car les couleurs et les contrastes varient beaucoup d’un écran à l’autre. Fuyez comme la peste les marques de cosmétiques qui vous montrent des photos comme preuve de l’efficacité de leurs produits (sauf bien sûr les marques qui proposent des produits injectables). Dernière chose : les véritables tests coûtent cher et sont difficilement accessibles aux petites entreprises. Beaucoup me contactent et utilisent cet argument pour justifier leur absence de tests fiables. Pour moi, ce n’est pas recevable. C’est comme ça et on n’a pas forcément à prendre en pitié les petites boîtes qui n’ont pas les moyens. Quand on veut sa part du gâteau, il faut être prêt à accepter les règles du jeu.
mercredi 7 janvier 2009
j'ai tout le temps les cheveux électriques, ils sont incoiffables...
C’est vrai que c’est pénible mais c’est la saison ! En hiver, il est normal d’avoir les cheveux électriques car l’air est souvent sec. Mais, il y a quelques trucs pour éviter cela. Déjà, porter le moins possible de vêtements en matières synthétiques (oui, je sais, les doudounes sont rarement en lin...). Of course, les bonnets n’arrangent pas la situation, faut choisir entre confort et beauté... Ou alors, enroulez votre tête dans une écharpe qui sera moins au contact des cheveux. Pour dompter les cheveux, on peut aussi les humidifier en passant ses mains sous l’eau puis en lissant la chevelure du plat de la main mouillée. Utiliser un après-shampooing permet également de limiter le phénomène. Pas mal aussi, le voile de laque (fixation normale sinon ça cartonne) pour mater la rebellion capillaire. Le bon côté des choses, c’est qu’avec le froid et l’air sec, les cheveux se salissent moins vite et vous pouvez espacer les shampooings, surtout si vous êtes, comme moi, abonnée aux lavages quotidiens pour cause de cheveux gras. L’hiver est la saison préférée des cheveux gras, yippeee yeah !!!
dimanche 4 janvier 2009
être belle en 2009
En 2009, on va encore beaucoup parler d’acide hyaluronique. Cet ingrédient, stable et sûr, produit par biotechnologies, sert aussi bien à hydrater la peau en application externe via les crèmes et les sérums qu’à combler les rides par injections. Et c’est du côté des injections que la recherche avance à pas de géant. Désormais, il existe de plus en plus de variétés d’acides hyaluroniques destinées chacune à une utilisation bien précise. La dernière en date, “Restylane Vital White” est un acide hyaluronique particulièrement étudié pour repulper la peau fine sur de larges zones. Il s’utilise sur le cou, le décolleté et le dos des mains, là où la peau se flétrit avec l’âge et le soleil. Il faut reconnaître que les résultats sont assez spectaculaires, c’est bluffant. Justement, je me demandais comment faisaient toutes les actrices quadra largement décolletées aux Oscars pour avoir une peau rebondie à cet endroit. Voilà, j’ai la réponse ! En tout cas, désormais, on voit une vraie rupture entre celles qui se font des injections comme on se fait redresser les dents (parce qu’on ne voit pas pourquoi on se priverait) et les autres à qui cette dictature du look fout la trouille. Moi, j’oscille entre les deux, un jour oui, un jour non. Comme tous les produits injectables autorisés en France, il est résorbable (il faut refaire les injections tous les 6 mois environ). Et si vous voulez plus d’infos, allez cliquer sur www.restylane.com.
Inscription à :
Articles (Atom)