mercredi 31 août 2016

Anticernes Blur The Lines, Bourjois

Timides de l’anticernes, voilà le produit qui pourrait bien vous changer la vie. Surtout celles qui n’arrivent pas à l’appliquer. Difficile de faire plus simple, on fait glisser le bâton directement sur la zone, on tapote du bout du doigt et c’est fait. La texture est faite aussi pour les sous-douées, on ne peut pas se rater. C’est assez siliconé mais pas trop pour accrocher quand même un peu sur la paupière, du coup la présence de silicone permet de flouter quelques rides (attention, pas de miracle). Les teintes sont plutôt pas mal, mais il n’y en a que trois, j’ai essayé la nuance beige 02 et elle convient aux peaux claires, mais pas trop. La tenue est impec, mais de toute façon, je poudre toujours un peu l’anticernes (sinon c’est pigments dans les rides à tous les coups). La bonne nouvelle, c’est que c’est un produit Bourjois donc pas cher : 11,90 €

dimanche 28 août 2016

Ma crème de nuit colle… c’est pénible !

C’est une question de saison, il fait très chaud, n’importe quelle crème de nuit finit par coller et poisser parce qu’on transpire beaucoup plus. Mon conseil : on zappe ce genre de produit tant qu’on n’est pas revenu à des températures plus fraîches. Surtout qu’avec la chaleur la peau produit davantage de sébum, pas de risque qu’elle soit trop sèche. Pour autant, ne rien mettre n’est pas toujours la solution, l’idéal c’est un sérum. Je me permets une petite réflexion en passant, à propos du démaquillage/nettoyage. Quand il fait chaud, on a encore plus besoin de nettoyer correctement sa peau, pour éliminer le sébum, la transpiration, tout ce dont on parlait plus haut. Et on n’hésite pas, si on doit ressortir le soir (oui c’est quand même la saison) à nettoyer son visage à fond, quitte à se remaquiller ensuite. C’est comme ça qu’on évite les mini-boutons, si fréquents justement en été. Car la peau bien poisseuse retient toutes les saletés qui traînent -c’est pour cela que la question de l’hygiène est primordiale pour les peaux grasses, bien plus que pour les peaux sèches.

mercredi 24 août 2016

Est-ce que le gommage fait partir le bronzage ?

Mais non… Bon, j’en vois qui chipotent : ok, le gommage fait partir –un peu- le bronzage et d’ailleurs, même le frottement de la serviette fait partir le bronzage ! Mais ce n’est pas le vrai bronzage, juste des cellules mortes mais bronzées (quelle magnifique mort !) mais quand on les voit partir ou s’accumuler sur la serviette blanche, on pourrait être tentée de renoncer à se laver… (j’ai écrit ça moi ?). On se console toutefois en se disant que le bronzage foncé terne, c’est bien plus moche que le bronzage léger lumineux. On n’est pas obligée de se gommer tous les trois jours non plus, une fois par semaine suffira au retour des vacances. En dessous de ces cellules mortes, il reste des cellules vivantes (ou prêtes à mourir !) bronzées car on ne bronze pas uniquement sur les cellules mortes. Et là, je dis hélas car si c’était le cas, on n’aurait aucun souci de méfaits dûs au soleil. Re-hélas, le soleil pénètre bien plus profondément dans la peau que ce qu’on élimine avec un gommage, à moins vraiment que vous ne soyez une folle furieuse du gommage, mais c’est une autre histoire…

dimanche 21 août 2016

Kjaer Weis : le beau maquillage bio

Ok, le nom est imprononçable, la faute à l’origine danoise de la créatrice de la marque sans doute. Mais les packs sont magnifiques et rechargeables, c’est ce qui fait vraiment la spécificité de ces produits. Attention, ils sont assez lourds, dans le sac, c’est moyen mais dans la salle de bains sans souci. Les textures et les couleurs sont superbes, j’ai un faible pour le blush crème très facile à poser et très doux, mais les ombres à paupières sont top aussi. Elles s’utilisent à sec ou humidifiées en liner. Les différentes nuances sont super bien pensées et plutôt subtiles, pour mettre en valeur la couleur naturelle des yeux. Une idée des prix : 49 euros le blush et 29 euros sa recharge, 38 euros pour l’ombre et 24 euros sa recharge. Luxueux donc... C’est en vente sur bazar-bio.

mercredi 17 août 2016

Cosméto : est-ce que tout fait sens ?

C’est la question que je me pose en voyant débarquer des produits à base d’ingrédients nouveaux mais pas trop techno comme le chêne, le piment d’espelette, le pin des Landes et plein d’autres plantes assez franco-françaises. Etudes à l’appui, on nous explique que les ingrédients en question sont super bons pour la peau car riches en substances protectrices etc. Pourquoi pas, mais côté marketing, je ne crois pas, en revanche, qu’il soit possible de décliner l’idée qui a fait le succès de Caudalie (avec ses polyphénols issus de pépins de raisin) à l’infini. Est-ce que l’histoire qu’on nous raconte sur ces ingrédients est suffisamment convaincante ?  Est-ce que ça nous fait rêver ? Pas sûr que pousser le concept jusqu’au bout soit totalement crédible. Ok, ces ingrédients nous sont familiers, justement un peu trop peut-être pour imaginer qu’ils seraient la solution miracle à nos rides…

dimanche 14 août 2016

Ensoleille moi, Gas

Un parfum qui sent la plage, les odeurs de produits solaires, les fleurs capiteuses ? Il y en a pléthore depuis quelques années car tout le monde s’y est mis (Nuxe a d’ailleurs très bien réussi avec la mise en parfum de son huile) mais j’ai un gros faible pour celui-ci, lancé par Gas (les bijoux) il y a dix ans. La marque a modernisé son flacon et c’est franchement réussi. Dans le jus hyper sensuel, on trouve des notes de tiare, bergamote, coco, vanille et musc. Annoncé comme ça, ça peut faire peur mais l’accord est totalement envoûtant. C’est un parfum de peau, vraiment fait pour les jours chauds (les soirs chauds en fait…) pas donné (72 euros…), mais on en met peu, forcément (pas la peine non plus d’affoler toute la rue !). Difficile de l’envisager pour l’hiver, c’est en été qu’il se porte, et un pschitt pourrait vous coller un cafard monstre hors saison, en comptant sur les doigts de la main le nombre de mois avant de retrouver l’été. Avec en bande son, BB qui chante « sur la page abandonnée… » on pourrait vite pleurer !

mercredi 10 août 2016

C’est quoi toutes ces nouvelles lotions ?

Grosse confusion au rayon lotions ces derniers temps… La faute à tous ces nouveaux soins venus de loin (de Corée en vrai) qui ne servent plus à finaliser le démaquillage comme au bon vieux temps des démaquillants lait + lotion. Non, là, ce sont des pré-soins et on sent bien que les fabricants sont gênés aux entournures pour nous les vendre : les notices sont sibyllines, floues, mystérieuses. Personne ne dit à quel moment on les utilise, on laisse la consommatrice faire ça au jugé et visiblement la consommatrice lambda elle ne sait vraiment pas ! Pour faire simple, on les utilise après un démaquillage à l’eau et avant de mettre son sérum puis sa crème de jour. Enfin, ça c’est si on est en train de se transformer en Coréenne car sinon, on les applique à la place d’un sérum si on ne veut qu’hydrater. Et si on se sert encore d’un lait et d’une lotion, on met une lotion après la lotion ? Aïe, l’affaire se corse mais oui, c’est possible. Ca sera donc une lotion très aqueuse suivie d’une lotion un poil plus « jelly ». Quel intérêt ? Pas évident pour tout le monde de le voir, j’avoue… Pour moi, l’avantage de ces formules, c’est de déposer un hydratant ultra-léger, parfait pour les peaux mixtes (et aussi sous le climat tropical asiatique et nous en été !)

dimanche 7 août 2016

Vernis Mirage, Dior

Il était temps que je change de couleur de vernis, le rose/corail/rouge était ma came absolue depuis des années mais là, on dirait que je suis passée du côté obscur. Evidemment avec des pieds bronzés c’est bien plus facile tout ça, on ne va pas se mentir... alors que les rouges sont jolis aussi sur peau claire. J’adore celui-ci signé Dior, il s’appelle Mirage et c’est un prune/aubergine foncé. Il a quand même un petit défaut, c’est qu’il n’est pas hyper pigmenté, j’ai appliqué la deuxième couche en épaisseur pour avoir un résultat bien opaque. Or, il me semble qu’avec ce genre de couleur, l’opacité est obligatoire. Et c’est obligatoire aussi pour un vernis d’une marque aussi chic, non ?

mercredi 3 août 2016

Parfums : la question du genre

C’est drôle comme le parfum pour homme OU pour femme est une préoccupation d’ici et maintenant. Un peu comme les jouets, très « genrés », les parfums actuels sont souvent définis par un genre masculin ou féminin. Qui ne correspond pas à grand chose à vrai dire car il n’y a pas, à proprement parler, de senteurs féminines ou masculines. Dans les pays du Moyen-Orient (on m’a dit, je n’y suis pas allée) il semblerait qu’on ne fasse pas cette distinction. De même, dans la parfumerie de niche, celle qui coûte un bras et demi, pas de parfum pour homme ou pour femme, c’est pour tout le monde (enfin non, juste ceux qui ont les sous) mais ça perturbe ceux qui sont trop habitués aux lois du marketing. Et on me demande souvent quand je fais sentir un nouveau jus si c’est pour homme ou pour femme. Il faut dire que créer un univers de genre avec des codes bien classiques est toujours plus facile que parler de l’abstraction d’une odeur. Perso, j’ai beaucoup porté de parfums “masculins” car j’adore les odeurs boisées et les agrumes. Et rien n’interdit aux hommes de porter des parfums fleuris. Il serait d’ailleurs plus juste, à mon sens, de préciser sur les flacons l’univers olfactif dominant –floral, aromatique, épicé etc que le genre.