mercredi 31 mars 2010

fun et bio


Ca bouge du côté des gels douche bio ! Il faut dire qu'Ushuaïa a pris de telles parts de marché, que les marques traditionnelles bio avaient intérêt à innover pour reconquérir des consommateurs. Donc, on va avoir désormais le droit de se doucher très fun ET très bio avec quelques produits hallucinants comme un gel douche Pina Colada ou encore Baïla Manzana (gamme Tentation, Naturado, 9,20 € en magasins bio), je les ai tous reniflés, c’est un pur plaisir ! Il y a des laits corporels assortis qui sont aussi une tuerie, et, le pire, c'est qu'ils ne sont même pas écoeurants. Ca va être très difficile de résister ! Autre gourmandise : les nouveaux gels douche de Centifolia qui, en plus, ont des emballages classe et discrets. Faut bien reconnaître que malgré quelques récentes tentatives, le joli pack demeure une rareté en bio. Centifolia vend aussi des éco-recharges pour recharger soi-même son flacon (c’est 1 euro de moins que le flacon de base). Je vous montre le “abricot-vanillé” mais il y a aussi un “menthe raffraîchissante” à se damner. Ce qui bouge aussi, c'est le choix des tensio-actifs (les agents lavants) en bio car de plus en plus de marques préfèrent désormais les tensio-actifs à base de dérivés de sucres ou d’acides aminés, encore plus doux que ceux utilisés auparavant, mais aussi plus chers et plus naturels. Cela permet donc d’afficher une composition 100 % naturelle plus difficile à trouver dans le bio vendu en hypermarchés. Un petit bémol dans ce concert de louanges : j’ai trouvé deux gels douche dont les parfums ressemblaient comme deux gouttes d’eau à deux douches Ushuaïa... Serait-ce le hasard qui a poussé le parfumeur à s’aventurer sur des terres déjà défrichées et largement labourées par d’autres ou un fournisseur indélicat qui n’a pas donné d’exclusivité ????

dimanche 28 mars 2010

people versus madame tout le monde

et le gagnant de ce grand concours est.... le people ! Ca ne fait aucun doute, à l’heure où je vous parle, j’apprends que Mélanie Thierry sera la nouvelle égérie d’un parfum Yves Saint Laurent en septembre prochain et je vois partout les visuels Lancôme avec Julia Roberts. On bouffe du people et ça n’est pas prêt de s’arrêter. Eric Cantona chez L’Oréal (oui, vous avez bien lu !) et plein d’autres encore. Aujourd’hui, en gros, si tu es actrice et que tu ne vantes pas les mérites d’un produit cosmétique, c’est que tu es une super mega rebelle de chez rebelle ou que tu es moche (enfin selon les critères des pubs, c’est à dire difficilement retouchable !). Entendons-nous bien, je ne veux pas donner de leçons de morale aux actrices (avant, fallait coucher avec le producteur, c’était pas mieux que coucher sa signature sur un contrat L’Oréal) mais ça peut aussi tuer le produit (est-ce que quelqu’un a remarqué ce que Julia Roberts vantait comme produit ? ). Alors, oui, ça vous agace, oui ça vous énerve et moi aussi mais, si on ne voit que ça, c’est aussi parce que d’un strict point de vue marchand, ça fonctionne. Alors que, madame Tout Le Monde de chez Dove, celle qui nous disait qu’elle avait des cuisses comme les notres, est-ce qu’on a eu envie de se jeter sur les produits pour lui ressembler ? Ben pas moi en tout cas et puis si c’était pour avoir les mêmes cuisses, pourquoi acheter un produit ? En même temps, c’est aussi la preuve, et là les gens de marketing peuvent creuser le sujet, que les produits ne sont plus assez attirants par eux-mêmes et qu’il leur faut un bon gros faire-valoir Quand je pense qu’il y a dix ans, je me gondolais de rire en regardant les pubs dans les journaux Italiens qui ne peuvent pas vendre un produit sans y coller l’image d’une présentatrice météo ou de la miss Mozarella de l’année précédente... J’avais tort de rire, c’était du pipi de chat par rapport à ce qu’on vit en ce moment.

O.B.N.I


Objet Bronzant Non Identifié
Une énième poudre de soleil ? C’est ce que je pensais en ouvrant cette drôle de boîte façon râpe à fromage de chez Elizabeth Arden. C’est vrai que le but est identique : un teint bronzé sans s’exposer au soleil. Mais la texture est complètement différente des poudres de soleil compactes classiques. C’est une poudre très douce, assez glissante et peu pigmentée (elle paraît d’ailleurs foncée dans la boîte mais ne l’est pas en réalité). On tourne légèrement la râpe pour avoir une mini dose de poudre dont on imprègne le pinceau puis on applique par gestes circulaires sur le visage. On obtient alors un effet bronzé très proche du vrai bronzage. C’est surprenant de naturel, sans le côté parfois terne des poudres de soleil mates mais sans effet irisé non plus. J’ai un faible pour le boîtier, super pratique en voyage car muni d’un miroir bien large et impossible à renverser. Bon, le pinceau pliant livré avec est trop riquiqui pour une utilisation quotidienne mais en dépannage, pourquoi pas. L’idéal est de l’appliquer avec un gros pinceau bien fourni et dense, type kabuki. Ne pas se fier à l’appellation “poudre minérale” car elle ne contient pas uniquement des minéraux. On y trouve aussi des silicones et cela pourrait bien expliquer son toucher si doux. Pure Finish Poudre Minérale Bronzante coûte 32 euros, est vendue en exclusivité chez Nocibé, et existe en deux teintes, medium et deep.

mercredi 24 mars 2010

gommage corps, Lineance


Oui, ils surfent sur la vague bio, comme tout le monde, mais ce n’est pas une raison pour les snober car le produit est plutôt bien gaulé. C’est un gommage, un vrai, qui gratte fort. Je préfère ce genre de formule aux gommages à tout petits grains qui ne servent à rien. En plus, il est bon marché (environ 7,50 euros) et sa senteur d’agrumes est assez craquante. Il y a aussi un lait corporel dans la gamme à l’odeur très réussie aussi. Maintenant, on peut aussi opter pour un gommage encore plus écolo : c’est un gant qui gratte et qu’on utilise au hammam, ce n’est pas cher (environ 5 euros), ça dure des dizaines d’années et il n’y a pas d’emballage à jeter ensuite. Prenez juste soin de le rincer à l’eau très chaude pour bien le nettoyer et éliminer toutes vos cellules mortes coincées dedans !

dimanche 21 mars 2010

Est-ce que tu crois que ça m’irait un rouge à lèvres orange vif ?

Parce que j’en ai marre des roses, l’orange c’est pile ce dont j’ai envie pour cet été...
La réponse, qui que tu sois, copine brune, rousse, blonde, peau claire ou mate, est NON.
Je ne connais rien de plus casse-gueule que le rouge à lèvres orange, ça ne va à personne. On en a vu des tonnes sur des mannequins aux derniers défilés mais il ne faut pas s’y fier. les mannequins, tout leur va, parce qu’elles ont 16 ans et qu’il y a un gros fossé entre les shows éclairés façon boîte de nuit et la vraie vie avec le vrai éclairage du métro et les vraies fringues qui ne ressemblent pas à des sculptures contemporaines mais bêtement à des jeans et des tee-shirts. En plus, c’est impossible à coordonner au maquillage du reste du visage, donc ça signifie ne rien mettre d’autre (et là on se marre). Et dès que tu ouvres la bouche (les mannequins sont toujours bouche fermée), tes dents paraissent jaunes, c’est hyper sympa. C’est d’inspiration sixties mais c’est une des raisons qui ne me font pas regretter l’époque... Of course, je parle là des vrais oranges (cette année, il y en a même des limite fluos) car les rouges nuancés d’une pointe d’orangé sont tout à fait portables, tout comme les textures transparentes orangées. Alors, j’ai une tentative d’explication, si le orange est si difficile à porter, c’est peut-être parce que c’est une couleur loin de la nuance d’origine des lèvres, à la différence de tous les roses, carmins, bordeaux, prunes. Du coup, c’est toujours bizarre. Et pourtant, ce n’est pas faute d’avoir essayé des dizaines de rouges à lèvres oranges... Dites-moi si ça vous va à vous !

samedi 20 mars 2010

surprise en bouteille


Comme c’est étrange, on nous présente la dernière Aqua Allegoria de Guerlain comme une senteur fraîche et juvénile, plutôt avril, alors qu’elle m’apparaît, à moi, sacrément réchauffée aux rayons de juillet. Flora Nymphéa, c’est son nom, est inspirée par les effluves de seringa et de fleur d’oranger. Le visuel nous la montre comme une ingénue à la chevelure cotonneuse, lovée dans un cocon de pétales. Juste à trois mille kilomètres de l’identification pour moi... Certes, la fleur d’oranger est bien présente, mais elle est travaillée dans un accord très chaud et sensuel avec un soupçon de miel, qui m’évoque plus les nuits d’été que le bouquet de mariage. Comme quoi, hein... On peut toujours être surprise avec le parfum car, avec le nom qu’on lui a donné, les notes mises en avant et la pub façon ado, j’aurais juré que ce flacon n’était pas pour moi ! Pourtant, depuis 15 jours, je suis addict ! Elle coûte 68 euros pour 125 ml

mercredi 17 mars 2010

photo non retouchée = photo crado ?

Ce mois-ci on rigole bien en ouvrant son Marie-Claire qui se drape dans sa dignité parce qu’on ose accuser la presse féminine de présenter une image de la femme trop parfaite; ce qui nuit à son équilibre. Moi ce qui m’a surtout amusée, c’est le contraste entre les pubs avec des peaux lisses comme du plastique et les vraies photos qui font, à côté, limite crado ! Ben oui, on n’est plus habitués à voir de vraies chairs, c’est, comment dire, presque beurk... La deuxième chose marrante, c’est la liste de remerciements longue comme le bras à toutes ces personnalités qui ont bien voulu accepter des photos sans retouches. On se prosterne devant tant de courage... Bref, c’est formidable de nous montrer ce mois-ci des photos sans retouches genre “même pas peur” mais vu que le mois prochain ce sera “avec” retouches on ne voit pas bien l’intérêt. Et Louise Bourgoin a la peau qui brille : les maquilleurs n’avaient peut-être pas le droit d’utiliser de poudre... Prochaine étape, des actrices garanties sans chirurgie ni injections avec certificat d’authenticité ?

rose marronnassé


Ma dernière lubie en matière d’ombre à paupières : me fabriquer une nuance idéale qui ressemble à du vieux rose nuancé de brun. Raconté comme ça, je sais, ça ne fait pas envie mais, je vous jure que c’est joli. C’est plutôt bien avec des yeux bleus ou verts et c’est facile à porter, à condition d’ajouter du marron foncé au ras des cils afin de ne pas laisser le rose tout nu au bord de la paupière (ça fait lapin russe ou pire, jambon cru !). Je réalise ça avec la nouvelle ombre solo de Clarins, “Dusty Rose”, très fadasse comme couleur -d’ailleurs son nom signifie quand même rose poussièreux- dans son boîtier, mais superbe sur la peau... En plus, elle a une excellente tenue pour une ombre poudre, je n’ai pas de trace dans le pli de la paupière à la fin de la journée.

samedi 13 mars 2010

savez-vous trier chez vous ?

Garnier a fait une conférence de presse lundi dernier sur le tri des déchets des produits d’hygiène et de beauté et, j’avoue que j’ai appris quelques trucs alors que je me croyais assez irréprochable de ce point de vue,. Déjà les chiffres qui font froid dans le dos : 75000 tonnes de déchets de produits d’hygiène et de beauté générés chaque année en France. Et, alors que 84 % de la population trie dans la cuisine, il n’y en a plus que 55 % qui trient leurs produits dans la salle de bains et, ensuite, uniquement 21 % à le faire CORRECTEMENT. Bref, une mise au point s’impose sur ce qui se trie et ce qui ne se trie pas. Alors, voici la liste : on peut mettre au recyclage les flacons type shampooing ou gels douche en plastique. On recycle aussi les cartons de dentifrice, les cartons de boîtes de colorations, les conditionnements en métal comme les aérosols de laque ou les déos. En revanche, on jette avec les déchets non-recyclables les rasoirs jetables, les cotons en tous genres (coton-tiges, à démaquiller, mouchoirs en papier), les brosses à dents, les tubes de dentifrice, les tubes de crème ainsi que les pots en plastique. Pour remédier au problème, Garnier s’engage à alléger ses emballages et propose d’équiper la salle de bains de deux poubelles (ils vont en distribuer bientôt gratuitement), moi je sais que je ne garderai qu’une poubelle. La salle de bains, chez moi, n’est pas si loin que ça de la cuisine... C’est pas le bagne non plus d’apporter la bouteille de shampooing jusqu’à la cuisine ! En fait, là où je me trompais, c’était dans le recyclage des pots et des tubes qui, contrairement aux bouteilles plastiques ne se recyclent pas. Bon, j’espère que cela va vous inciter à bien trier désormais !

le blush baby face


Rien de plus tendance qu’un bon blush ce printemps ! J’en suis raide dingue au point d’avoir envie de dire aux filles bien maquillées, mais sans blush, croisées dans le métro, qu’il leur manque quelque chose. Je vous rassure, je n’ai pas encore franchi le pas (agresser des filles pour les remaquiller)... La couleur la plus tendance, c’est le rose pâle avec une nuance bleutée, qui, posée assez bas sur le bombé des joues, fait un teint de bébé. Evidemment, on peut se faire un joli résultat avec un blush pâle de Bourjois, mais on peut aussi entrer en transe devant le It-Girl Purple de Givenchy... Tellement mignon, bien dosé dans ses couleurs ni trop mièvres ni trop vives et pas du tout irisées (on trouve plein de blushs pâles irisés mais c’est moche, ça marque les pores dilatés). L’idée est de balayer à peine le pinceau, -logé dans le tiroir en dessous- sur la joue, tout ça doit être subtil, comme toujours... Précision : c’est joli aussi sur les vieilles de plus de 40 ans mais moins sur les peaux très foncées (trop strange). Et le produit coûte un bras (40,10 euros) mais il doit durer longtemps car celui que je vous montre sur la photo a déjà quinze jours d’utilisation derrière lui et il est comme neuf !

mercredi 10 mars 2010

“contrôlé par un pharmacien...”

J’ai reçu il y a quelques jours une nouvelle gamme de produits vendus en pharmacies à des prix très attractifs. Il y a des produits tous azimuths, cela va du gel douche à la crème corps, mains ou visage. Les produits paraissent sympas et il y a sur chaque flacon ou tube la mention “controlé par un pharmacien”... C’est visiblement fait pour rassurer le client potentiel que, même avec ces prix riquiqui, les produits ne sont pas des daubes. Alors, peut-être le savez-vous déjà, mais TOUS les produits d’hygiène et de beauté vendus en France sont “contrôlés par un pharmacien” et pas uniquement ceux vendus en pharmacies. Chaque fabricant doit en effet avoir un pharmacien responsable de la qualité des produits. Ceux-ci doivent répondre à des exigences de sécurité quel que soit le circuit de distribution dans lequel ils sont vendus. Que les produits soient vendus dans les grandes surfaces, les pharmacies, les grands magasins, les parfumeries ; ils sont contrôlés et traçables. Si jamais un souci de fabrication apparaît, on peut aussitôt identifier le coupable avec le numero de lot, l’adresse du fabricant, etc. Cela ne veut pas dire que les produits sont identiques dans leurs qualités mais que tous satisfont aux exigences élémentaires (tests de tolérance cutanée et occulaire, absence de contamination microbienne etc) et qu’on peut les utiliser en toute confiance. Maintenant, ça c’est valable pour ce qu’on trouve dans de VRAIS magasins. Car il y a une exception qui confirme cette règle.. Difficile, en effet, de contrôler des produits vendus à la sauvette sur les marchés. S’il n’y a pas d’adresse d’un fabricant dans la communauté européenne, cela veut dire que le produit n’est pas traçable. Soit il obéit à d’autres règles d’hygiène ou pas de règles du tout car les normes européennes sont les plus strictes. Soit il a été fabriqué par une entreprise qui n’est pas qualifiée pour produire du maquillage ou des soins. C’est là que c’est embêtant et je me tue à répéter ça à des copines qui trouvent super rigolo d’acheter leur khol pas cher (et encore pas tant que ça) sur les marchés. Ne venez pas vous plaindre si vous avez des allergies ! C’est donc assez amusant de voir que d’un côté on rassure bien inutilement les consommateurs (car ceux qui vont acheter en pharmacies sont déjà parmi les plus flippés) et de l’autre ces mêmes consommateurs peuvent se laisser refiler n’importe quoi sous pretexte d’authenticité... Et je vous parlerai bientôt de l’huile d’argan qu’on ne devrait pas toujours acheter les yeux fermés !

dimanche 7 mars 2010

Shampooing Pure Volume, Pureology


Alors, là, attention, on entre dans le registre mega spécialisé. On parle d’une gamme spécialement dédiée aux cheveux colorés et destinée à protéger la couleur mais qui apporte, en plus, pour chaque produit, une autre spécificité. Comme les yaourts bio ET au bifidus : vous saisissez le degré de sophistication... En l’occurence, mon shampooing testé était un volumateur. L’originalité de la gamme, c’est qu’elle est conçue sans sulfates, -par exemple le fameux “sodium laureth sulfate”- si agressif pour le cuir chevelu et qu’on trouve dans tous les produits détergents (liquide vaisselle, gel douche, shampooing) sauf les détergents bio. Il y a des bizzarreries dans la formule, style “sans produits animaux” comme si les shampooings étaient truffés de graisse de porc... Les plantes bio sont mises en avant mais ce n’est pas certifié bio. Et même si certains choix dans la formulation m’échappent un peu (c’est américain, on n’est pas à une contradiction près) cela méritait bien un billet. Surtout que cela fait deux mois que la bouteille de shampooing est sur le rebord de la baignoire en attente de test ! Passons sur le look des flacons aux couleurs fadasses, que je trouve personnellement hideux, on dirait des produits de drugstore des années 80, et j’avoue, c’est pour cela que ça ne me donnait pas envie... Première surprise, le shampooing est super concentré, il en faut très peu, une noisette pour des cheveux mi-longs. Il mousse beaucoup pour une formule sans sulfates et est très onctueux, même assez glissant. Il ne faut pas se louper au moment de l’appliquer car on risque d’en mettre trop la première fois. L’odeur est ok pour moi, pas à se damner mais bien. Au finish, le shampooing remplit sa mission : c’est un des meilleurs volumateurs que j’ai essayé. Je précise que je n’ai pas utilisé le conditionneur qui va avec mais, un habitué de ma salle de bains, le sans silicones de Fructis. Le lendemain, le résultat tient le coup et, c’est pour moi, l’ultime test car mes cheveux regraissent très vite. La gamme comprend trois variétés de produits, une pour les cheveux colorés secs, une pour cheveux colorés fins (donc, le volumateur...) et enfin une pour cheveux colorés abîmés. Le flacon de shampooing coute 20 euros, et, compte tenu du peu de produit nécessaire et de la contenance extra-large, je me demande s’il ne rivalise pas avec les prix des shampooings de grande distribution. Il se vend en salons de coiffure.

samedi 6 mars 2010

Rouge Coco, Chanel : bien plus que la couleur...


Avec sa texture qui ne ressemble pas du tout à du rouge à lèvres, le Rouge Coco devrait faire un malheur chez les filles qui, justement, n'aiment pas le rouge à lèvres (alors, complètement au hasard hein, moi !). A l'application, on a la sensation d'étaler un baume, c'est fondant et doux. Il est très hydratant, même après un test en hiver. Ce qui change aussi, c'est qu'il est vraiment modulable : on peut en appliquer un peu, vite fait et sans miroir pour avoir les lèvres légèrement maquillées ou passer le bâton dans les règles de l'art pour un résultat soutenu, plus fatal... La texture ne laisse pas l'impression d'avoir quelque chose sur la bouche et les lèvres paraissent plus jolies avec qu’au naturel (once again, c’est une anti-rouge qui parle... c’est bien connu, les fraîchement convertis sont les plus prosélytes !). J'adore la couleur "légende" que je vous montre en photo, un ton entre rose et rouge, tout en subtilité, pas agressif et pourtant assez intense. Contrairement aux précédents étuis de rouges de la maison Chanel, celui-ci est en métal (les autres étaient en plastique), ça change les sensations. Je ne sais pas si vous avez déjà entendu parler du bruit de la portière d'une voiture de luxe quand on la ferme, et bien, là, c'est pareil. La matière de l'étui, du métal -froid donc-, permet de le retrouver en quelques secondes dans le fond du sac (fallait déjà y penser...) et le clic de fermeture, c'est la portière de la bagnole chic, ça vous pose une femme (et pour beaucoup moins cher qu'une voiture de luxe). Il existe en 30 teintes et coûte 28,50 euros. Et non, je ne vous parle pas de Vanessa parce que tout le monde en parle déjà !

mercredi 3 mars 2010

en spray !


Inutile de présenter le déo bio de Nuxe; depuis son lancement cette star des pharmacies se vend comme des petits pains. La bonne nouvelle c'est qu'il existe désormais en version spray, pour celles (et ceux !) qui préfèrent. Ca n'enlève rien à ses qualités et c'est un spray naturel, c'est à dire plutôt un vaporisateur. Le bon point pour moi, c’est que la diffusion est plus "brume" que "jet", contrairement à beaucoup d’autres vapos bio, qui lancent une giclée de produit soit une couverture de un centimètre par aisselle. Ce qui oblige parfois à étaler le déo ensuite avec les doigts... Il est vendu 10,50 euros.