mercredi 31 août 2022

Dentifrices : la fin du tube alu ?



Peut-être car c’est une vraie nuisance pour l’environnement, le mélange d’alu et de plastique ne se recyclant pas. Donc, plein de nouvelles propositions : à croquer, liquides, en poudre etc, ça bouge tellement dans ce rayon qu’on ne sait plus où donner de la tête. J’ai tout testé ou presque. Je trouve impec le dentifrice liquide de What Matter’s, très proche finalement d’une formule classique niveau confort d’utilisation et pratique avec son flacon pompe rechargeable (mais recharge en plastique). Très bien aussi le dentifrice à croquer de 900 Care, il mousse bien et rapidement. On remplit le contenant (pas ultra ergonomique cependant) en achetant les doses. Bien aussi les petites gourdes d’Elgydium, faciles à recycler (et bio), contrairement aux tubes alu classiques. En revanche, très bof la pâte en pot dans lequel on trempe sa brosse ; ce n’est pas hygiénique, on met de l’eau dedans si on mouille sa brosse avant. Ça n’inspire pas confiance du tout. La question du fluor est vraiment très clivante, visiblement ça fait le buzz sur les réseaux sociaux entre défenseurs et détracteurs du fluor. Pour ma part, je n’ai pas les compétences nécessaires pour savoir qui a raison ou tort, mais les dentistes voient de plus en plus d’enfants arriver dans leurs cabinets avec les dents cariées. J’ai entendu dire que dans certains pays les eaux de table étaient fluorées et que le fluor des dentifrices créait un surdosage. Apparemment ce n’est pas le cas en France et comme j’ai déjà filé à mon dentiste de quoi s’acheter deux Porsche, je crois que je vais continuer le fluor. Souvenons-nous aussi que ce qui est valable à l’autre bout de la planète ne l’est pas forcément partout. Le bon point c’est que la teneur en fluor est indiquée sur l’emballage, si on lit les étiquettes, on peut faire son choix en toute connaissance de cause. Et on regarde aussi de près les dosages, ce n’est pas le même selon que le dentifrice est destiné aux enfants ou aux adultes.

dimanche 14 août 2022

mercredi 10 août 2022

Toutes les huiles se valent-elles ?

On pourrait le croire car quoi de plus ressemblant à une huile qu’une autre huile ? Et oui, elles font globalement le même boulot, comme, par exemple, de démaquiller le mascara waterproof quand vous n’avez pas ce qu’il faut sous la main… (moi avec une goutte ou deux d’huile de cuisine). Mais, en vrai, elles ont des pouvoirs différents selon les plantes dont elles sont issues. Et même des touchers différents : la noisette est plus sèche, la coco est plus onctueuse. Ce que l’on sait moins, c’est leur degré de comédogénicité c’est-à-dire, en gros, leur capacité à vous filer des boutons… Perso je ne suis pas trop concernée car je ne mets jamais d’huile sur le visage, je déteste ça, mais je vois plein de gamines ne jurer que par les huiles et se tartiner du matin au soir (les mêmes qui finissent par supplier le dermato de leur filer du Roaccutane ?). Bref, les huiles, c’est top mais mollo et surtout on retient que beurre de cacao, palme, coco, germe de blé et bourrache ne sont pas idéales pour une peau mixte ou grasse (mais sur les jambes et les bras, pas de souci). Et il faut aussi y penser quand on les applique sur les cheveux. Car sur le cuir chevelu, on peut aussi avoir des boutons et/ou en avoir sur le haut du front quand l’huile est étalée trop près du cuir chevelu. Celles qu’on peut utiliser sans crainte : noisette, argan, avocat, beurre de karité, jojoba, tournesol.

dimanche 7 août 2022

Le bio, ceux qui n'en voulaient pas...

et sont en train de s'y mettre, un peu penauds parfois, mais après tout il n’y a pas de mal à changer d’avis ! Souvent ce sont des marques qui étaient très « tradi » et campaient fermement sur leurs positions. Le bio n’était pas leur histoire. Et puis petit à petit, en développant une offre parallèle, ils y viennent aussi et les font exister pendant un certain temps à côté de leurs gammes conventionnelles. Un vrai challenge marketing ! C’est le cas de Sothys par exemple, la marque d’institut très installée mais aussi quelques marques du groupe Pierre Fabre en pharmacies comme Furterer, A-Derma ou Klorane. En tout cas, c’est intéressant car on dirait qu’ils viennent au bio sur la pointe des pieds !

mercredi 3 août 2022

Le shampooing solide veut sa boîte



Oui parce que ce n’est pas le tout de proposer des shampooings solides, il leur faut une boîte pour voyager tranquille et c’est là que les initiatives les plus bizarres arrivent. Du genre de la boîte en liège 3 fois plus grosse que le savon qui te prend la moitié de ta trousse de toilette ! Certes il y a toujours la possibilité de le mettre dans un petit sac en plastique usagé (avec le gant de toilette en mode années 70) mais sinon, la boîte la plus pratique pour moi est celle de L’Occitane en alu (elle coûte 4 €) et avec une petite grille qui permet au savon/shampooing etc de bien sécher. En plus elle est plutôt jolie, elle peut rester dans une salle de bains design sans être obligée de se cacher !