Le produit solaire est plus résistant et testé en conditions extrêmes, une fois appliqué, il doit tenir sur la peau même en cas de courte baignade, transpiration, vent, légers frottements… Ce qui n’est pas le cas de la crème de jour. Elle convient donc bien à une utilisation urbaine : c’est l’été, il y a du soleil, on le prend sur son visage en passant dans la rue, bref elle a son intérêt de mai à septembre. En revanche, si on travaille à l’extérieur, si on commence sa journée par une marche bien exposée ou si on est en vacances et souvent dehors, alors le vrai solaire costaud s’impose (avec aussi le chapeau et les lunettes). Et, comme ça en passant, j’ai beaucoup de copines de 50/60 ans qui se retrouvent avec des carcinomes basocellulaires. Ce sont des cancers faciles à soigner chirurgicalement mais comme ils surviennent souvent sur le visage et le décolleté, on se retrouve avec des cicatrices parfois bien moches (genre un creux sur le nez). Et ce n’est pas à cet âge-là qu’il faut penser à réduire sa consommation de soleil mais avant… Et croyez-moi, je vous prêche la prudence mais je crame aussi de temps en temps par inadvertance.
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