La réflexion émane de L’Oréal et ce n’est pas inintéressant, en gros, l’idée, c’est que pour économiser l’eau, plutôt qu’appliquer un après-shampooing à rincer, on opte pour une formule sans rinçage. Tordu ? Non pas complètement car le bilan environnemental des produits se calcule aussi avec l’eau qu’on utilise et plus encore l’énergie dont on a besoin pour la chauffer. Ce qui explique que certains shampooings bio difficiles à rincer ne soient pas bien placés. En gros, c’est l’inverse du modèle américain des 40 dernières années, à savoir un shampooing tous les jours, suivi d’une tonne d’après-shampooing pour réhydrater la fibre agressée suivi encore d’un brushing de malade. Bon, en Europe, a priori, on n’était pas sur le même modèle mais l’idée fait déjà son chemin chez moi, j’utilise de moins en moins d’après-shampooing, déjà parce qu’avec les cheveux fins ce n’est pas toujours top mais aussi parce que les formules d’après-shampooings sans rinçage sont devenues très performantes… Idem pour le sèche-cheveux : je présèche beaucoup et avec un appareil high-tech (ok un Dyson…), mon séchage et mon pseudo-brushing ne nécessitent que 4 minutes d’appareil branché (oui, j’ai compté, surtout pour faire taire celui qui soupire quand je dis, juste avant de partir « attends, il faut que je me sèche les cheveux » !!!! Vous savez tout !). Les après-shampooings sans rinçage performants, j’en teste en ce moment donc j’en parle bientôt…
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