mercredi 30 septembre 2015

Avec les palettes : voilà comment ça se termine

Et pourtant l'histoire avait bien commencé : les couleurs étaient toutes dans mon registre, pas de bleu pétard ou de violet zarbi. Mais voilà, la force de l'habitude a fait que j'ai jeté mon dévolu comme toujours sur un taupe/beige/gris que j'adore au point de le porter quasiment tous les jours et sans pousser plus loin mes investigations sur les autres nuances. Alors, stocker une palette aussi large dans un tiroir de meuble de salle de bains pour n'utiliser qu'un centimètre de la chose, c'est juste gâcher, je sais (et en plus, au prix du mètre carré Parisien, ça craint). Le pire, c'est que je ne sais pas résister aux palettes, surtout celles dans ce genre-là. Des Bobbi Brown... Je les veux toutes pour finir par n'utiliser que quelques couleurs… Je ne sais pas si ça se soigne et j'hésite bien évidemment à les proposer à moitié mangées à mes copines (je devrais carrément faire sauter le carré de couleur entamé, ça ferait moins crado).

2 commentaires:

Cec jeune mariee a dit…

Ahhh je comprends !! Je n'ai acheté dans toute ma vis qu'une seule palette, une cargo absolument magnifique, avec 4 couleurs improbables (du jaune au vert en passant par le bleu flashy ) mais qui se marient tellement bien entre elles que je les utilisent autant, même si c'est peu souvent, et seulement printemps été. Pour le reste j'arrive à me rappeler devant ces palettes qui ne font de l'oeil que je ne m'en servirai jamais vraiment.... Alors je repère le plus beau fardeau de la palette et je le trouve en solo, et je suis trop fière de moi de ne pas avoir fait un achat que j'aurais considéré idiot quelques semaines après !

So. a dit…

C'est pour cela que je n'entame plus de palette ! D'autant plus que je me maquilles assez peu les paupières...