… Et c’est la première fois que ça m’arrive : je me suis carrément endormie pendant le soin (ok j’étais vraiment crevée, j’avais enchaîné trois nuits de 6 h) mais s’endormir pendant qu’on vous pince la peau, je ne pensais même pas que c’était possible. Il faut dire aussi que j’étais chez moi, donc totalement relax. C’est une formule qui se pratique de plus en plus, l’esthéticienne se déplace et on s’installe tranquillement. Pour moi, c’était allongée sur un lit et elle était derrière moi assise en tailleur. Zéro sensation de gêne, c’était parfait. Pas besoin ensuite de ressortir, on reste dans son cocon. Evidemment il faut que la maison soit libre de toute marmaille/mari/copains sinon on risque vite de déchanter. J’ai adoré le soin et son effet lumineux sur la peau même si c’est assez surprenant au début. Les pincements et tapotements sont bien présents mais ne font pas mal. D’origine japonaise, on dit du kobido qu’il agit comme un lifting naturel, car il tonifie les muscles et stimule la circulation, ce qui est toujours bénéfique à la peau pour favoriser les échanges cellulaires. Bon, pour ça il faudrait le faire une fois par semaine pendant deux mois pour s’en apercevoir et ça coûte quand même un bras (70 euros) mais même après une séance on a un joli résultat. La méthode exige une véritable connaissance de l’anatomie du visage, on n’est pas dans l’à peu-près et rares sont les esthéticiennes formées. La chorégraphie est très précise et subtile avec passage d’un rouleau de jade et de gua-sha, les petits instruments chinois en jade aussi (je crois) qui procurent une étrange sensation, à la fois froide et hydratante sur la peau. Bref, je suis carrément conquise par les deux choses : le kobido et le fait de ne pas avoir à me déplacer (feignasse !).
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